L'exercice de la mise en scène des pièces de Shakespeare, dont l'ombre plane sur l'ensemble du théâtre moderne, est périlleux mais souvent, incontournable pour un metteur en scène. Homme de théâtre, Georges Banu partage ses souvenirs de mises en scène et sa pensée de la postérité de Shakespeare.
- Georges Banu Professeur à Paris III, essayiste et critique spécialiste du théâtre
Georges Banu est un universitaire, essayiste, et critique de théâtre français. Spectacteur particulièrement éclairé, il est l'auteur de nombreux ouvrages consacrés à la scène contemporaine. Sur Shakespeare, qu'il apprécie tout particulièrement, il a publié une anthologie commentée intitulée Shakespeare, Le monde est une scène. Métaphores et pratiques du théâtre (Gallimard, 2009). Pour Georges Banu, l'origine du théâtre moderne est à chercher dans l’œuvre du dramaturge anglais. En cela, il est d'accord avec Peter Brook. Il a signé la préface à l'essai de ce dernier intitulé Avec Shakespeare, publié en 2015 chez Actes Sud.
A 15h30, la chronique d'Alexis Brocas, du Nouveau Magazine littéraire.
A 15h55, Jacques Bonnaffé lit la poésie.
Cette semaine consacrée à Shakespeare est réalisée en lien avec le festival de théâtre Shake'nice, qui se déroule du 24 janvier au 11 février à Nice, duquel France Culture est partenaire.
Le Théâtre du Nord propose également, jusqu’au 31 janvier, une mise en scène de Comme il vous plaira, réalisée par Christophe Rauck.
MUSIQUE GÉNÉRIQUE: Panama, de The Avener (Capitol) fin : Dwaal, de Holy Stays (Something in Construction).
MUSIQUE CHRONIQUE: Self portrait de Chilly Gonzales (Gentle threat).
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