"Le monde est ma représentation" : épisode • 4/4 du podcast Blaise Cendrars

Blaise Cendrars (1887-1961) en octobre 1957 à Paris au 23 rue Jean Dolent
Blaise Cendrars (1887-1961) en octobre 1957 à Paris au 23 rue Jean Dolent ©AFP - Leemage
Blaise Cendrars (1887-1961) en octobre 1957 à Paris au 23 rue Jean Dolent ©AFP - Leemage
Blaise Cendrars (1887-1961) en octobre 1957 à Paris au 23 rue Jean Dolent ©AFP - Leemage
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C'est d'un romancier qui a renoncé par déception à la poésie dont nous parlons. Cendrars a écrit le réel et le XXe siècle de nombreuses façons différentes, et même sous la forme du reportage - forme qu'il n'estimait pas particulièrement. Entre roman et reportage, quelle réalité donne-t-il à lire ?

Avec
  • Philippe Forest Romancier et essayiste
  • Myriam Boucharenc Professeur de littérature du XXe siècle à l’université Paris-Nanterre
  • Marc Porée Angliciste, professeur émérite de l’ENS

En première partie d'émission, l'écrivain Philippe Forest partage ses lectures de deux grands livres de Cendrars, Moravagine et Le lotissement du ciel. Il a consacré plusieurs études aux avant-gardes littéraires, dont un article paru dans la NRF de février 2011, intitulé "Blaise Cendrars ou l'art de léviter parmi les désastres".

Ensuite, Myriam Boucharenc présente un Cendrars non plus poète, mais journaliste. Elle est professeur à l'université Nanterre-Paris X et spécialiste de la littérature du XXe siècle. Elle a contribué au tout dernier volume de la Pléiade consacré à l'auteur, et a réalisé le volume consacré aux écrits journalistiques (dont Panorama de la pègre, A bord de "Normandie", ...) dans les Œuvres complètes (tome XIII) publiées chez Denoël en 2006.

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A 15h30, c'est la chronique du jeudi, en compagnie d'un grand lecteur ou d'une grande lectrice. Cette semaine, c'est Marc Porée, professeur à l'Ecole Normale Supérieure, qui nous parle de Cendrars et d'un point de l'actualité littéraire.

A 15h55, Jacques Bonnaffé lit la poésie.

MUSIQUE GÉNÉRIQUE: Ouverture : Panama de The Avener (Capitol) Fin : Dwaal, de Holy Stays (Something in Construction)

MUSIQUE CHRONIQUE: Self portrait de Chilly Gonzales (Gentle threat).

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