Sur les traces du jeune T. E. Lawrence : épisode 2/3 du podcast T. E. Lawrence

Le Crac des chevaliers, en Syrie.
Le Crac des chevaliers, en Syrie.  ©Getty - Paolo Koch / Gamma Rapho
Le Crac des chevaliers, en Syrie. ©Getty - Paolo Koch / Gamma Rapho
Le Crac des chevaliers, en Syrie. ©Getty - Paolo Koch / Gamma Rapho
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Un voyage personnel et historique de Jean Rolin sur les traces de l'auteur des "Sept piliers de la sagesse", avant qu'il ne devienne écrivain du désert.

Avec

Jean Rolin, écrivain et journaliste, est parti sur les traces de T. E. Lawrence, avec lequel il partage une enfance et des baignades à Dinard, ainsi que des promenades en bicyclette. Il raconte ce périple dans Crac, son dernier roman, paru chez P.O.L en 2019. C'est du jeune Lawrence dont il s'agit, un jeune homme qui n'a pas encore connu la guerre dans le désert et qui n'est pas encore devenu écrivain. 

Avant d'écrire Les Sept piliers de la sagesse, Lawrence fait des études d'histoire et présente une thèse intitulée "L'influence des croisades sur l'architecture militaire jusqu'à la fin du XIIe siècle". Âgé d'un peu plus de vingt ans, en 1909, il visite pendant l'été des châteaux en Syrie et en Palestine, après avoir arpenté la France, pour comparer les châteaux d'Europe occidentale et ceux qui ont été construits au Moyen-Orient pendant les croisades. 

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Le récit de Jean Rolin, qui part sur les traces de ce voyage, passe de la Syrie au début du siècle à celle des années 2010, rongée par la guerre civile. Ainsi, Lawrence visite le Crac des Chevaliers près de Homs, qu'il décrit comme étant "peut-être le château le mieux préservé et le plus admirable dans le monde"... avant qu'il ne subisse des bombardements en 2013. Cette émission offre un autre point de vue sur la personnalité de Lawrence, passionné d'histoire et d'architecture ; mais aussi sur les errances de notre histoire. 

A 15h30 : la chronique littéraire de Marianne Payot, du journal L'Express

A 15h55 : Jacques Bonnaffé poursuit, pour "Finir en beauté", la semaine autour des textes du poète belge Franck Venaille, auteur de Requiem de guerre

MUSIQUE GÉNÉRIQUE : Panama, de The Avener (Capitol) fin : Dwaal, de Holy Stays (Something in Construction)

MUSIQUE CHRONIQUE : Self portrait de Chilly Gonzales (Gentle threat)