L'écrivain engagé, Albert Cohen a publié son premier roman dès 1930 : "Solal". L'oeuvre s'inscrit dans un cycle d'écriture que nous décryptons dans cette émission.
- Philippe Zard Professeur de littérature comparée à l’Université Paris Nanterre
- Valérie Toranian Directrice de la rédaction du magazine Le Point
La compagnie des oeuvres vous propose cette semaine d'accorder une nouvelle écoute à sa série sur Albert Cohen. Dans cet épisode, nous revenons sur les premiers écrits de l'auteur en compagnie de Philippe Zard, directeur de la nouvelle parution du cycle Solal.
Lire Solal
Pourquoi gardait-il le passeport de son grand-père mort depuis quarante ans ? Prudence. On ne sait jamais. Un passeport est toujours utile à garder. Et d’ailleurs n’est-il pas dit que les morts ressusciteront ? Albert Cohen, Solal, 1930.
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Histoire de fantômes pour un roman fantôme. L'aventure du cycle Solal est en fait celle d'un premier roman et d'autres manuscrits en parallèle : Mangeclous (1938), Belle du Seigneur (1968) et L_es Valeureux (1969). _
Quatre œuvres distinctes en apparence mais en fait, elles ne font qu'une. Lire le premier roman d'Albert Cohen, c'est lire toute son oeuvre.
À 15 h 30 : en compagnie des revues avec Valérie Toranian de la Revue des deux mondes.
À 15 h 55 : Jacques Bonnaffé reste en compagnie de la poésie bretonne de Paol Keineg.
MUSIQUE GÉNÉRIQUE : Panama, de The Avener (Capitol) fin : Dwaal, de Holy Stays (Something in Construction).
MUSIQUE CHRONIQUE : Self portrait de Chilly Gonzales (Gentle threat).
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