

Honoré de Balzac (1799-1850) a traîné des dettes tout au long de sa carrière. Nous inaugurons notre semaine consacrée à la crise financière en littérature par ses écrits, notamment son roman sur l'argent, La maison Nucingen, publié en 1838..
- Bruno de Labriolle journaliste pour "Le Mock" sur YouTube
- Alexandre Péraud Maître de conférences en littérature à l’Université Bordeaux Montaigne
Le débiteur est plus fort que le créancier. Balzac, La maison Nucingen, 1838.
Cette affirmation audacieuse consacre la prise de risques... quitte à s'endetter. Aujourd’hui pour parler des entourloupes du Baron Nucingen dans le livre « le Baron Nucingen » de Balzac et pour évoquer plus largement le thème de l’argent et de la finance dans son œuvre, nous recevons Alexandre Péraud, grand spécialiste du roman réaliste, directeur du colloque intitulé « Argent et logiques monétaires dans La Comédie humaine », en juin 2012, à l’Université Paris 7, auteur d’un essai sur « Le Crédit dans la poétique balzacienne » (Garnier Classiques, 2012)
L'argent devient un moteur, un personnage, un actant du récit. Alexandre Péraud.
L'argent est, dans ce roman, un personnage de la maison Nucingen.
A 15h30 nous retrouvons Bruno de Labriolle, de " Le Mock" sur YouTube, pour la chronique.
MUSIQUE GÉNÉRIQUE: Panama, de The Avener (Capitol) fin : Dwaal, de Holy Stays (Something in Construction).
MUSIQUE CHRONIQUE: Self portrait de Chilly Gonzales (Gentle threat).
Rediffusion de l'émission du 27/08/2018
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