

« Ce qui étonne, dans la poésie sous les Tang, c’est l’extraordinaire contradiction entre la rudesse du règne, la guerre, les violences, la cruauté des gouvernants, et, d’autre part, la délicatesse, le joliesse des vers, l’élégance et la grâce de l’inspiration. » J. M. G. Le Clézio.
- Dong Qiang Dong QIANG, Professeur de littérature à l'université de Pékin
- Jean-Marie Gustave Le Clézio Écrivain franco-mauricien
Pour le grand écrivain français J. M. G. Le Clézio La poésie chinoise de l’époque Tang (618-907) est « sans doute le moyen de garder ce contact avec le monde réel, elle nous invite au voyage hors de nous- mêmes, nous fait partager les règnes, les durées, les rêves. » Avec la collaboration de son ami Dong Qiang, il vient de signer Le flot de la poésie continuera de couler (Philippe Rey, 2020), un bel hommage à Li Bai, Du Fu, Wang Wei, Bai Juyi et quelques autres poètes qui aimaient le vin, les femmes, la nature, les errances et partageaient les souffrances du peuple face à la pauvreté ou à la violence des guerres.
Avec J. M. G. Le Clézio et Dong Qiang, poète, calligraphe et professeur de civilisations comparées à l’Université de Pékin.

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