Ce soir la Fondation Louis Vuitton dévoile avec "Au diapason du monde" sa nouvelle sélection d'artistes, le musée Rodin nous fait découvrir la passion du sculpteur pour la danse et le Centre Pompidou nous raconte l'histoire de l'art à travers l'avant-garde russe à Vitebsk.
- Stéphane Corréard Critique d'art, directeur du salon Galeristes, participe à La Dispute sur France Culture, signataire de la Tribune “Non au «cadeau» de Jeff Koons” dans Libération
- Sandra Adam-Couralet
- Corinne Rondeau Maître de conférences en esthétique et sciences de l’art à l’Université de Nîmes et critique d'art
"Chagall, Lissitzky, Malevitch - L'avant-garde russe à Vitebsk (1918-1922)" jusqu'au 16 juillet au Centre Pompidou
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Présentation officielle :
L’exposition que consacre le Centre Pompidou à l’avant-garde russe, de 1918 à 1922, prend pour cœur l’œuvre de trois de ses figures emblématiques : Marc Chagall, El Lissitzky, Kasimir Malévitch. Elle présente aussi les travaux d’enseignants et d’étudiants de l’école de Vitebsk, créée en 1918 par Chagall : Vera Ermolaeva, Nicolaï Souietine, Ilia Tchachnik, ou encore Lazar Khidekel et David Yakerson.
À travers un ensemble inédit de deux cent cinquante œuvres et documents, cette manifestation éclaire pour la première fois les années post-révolutionnaires où, loin des métropoles russes, l’histoire de l’art s’écrit à Vitebsk.
Commissaire d'exposition : Angela Lampe
Voilà une exposition à laquelle je ne m’attendais pas, j’y ai découvert un autre Chagall. L’exposition déroule un fil chronologique sans prétention mais avec pertinence. Corinne Rondeau
Cette exposition est un très beau travail d’historien d’art, je salue vraiment le commissariat d’Angela Lampe. Je conseille la lecture de « La Paresse comme vérité effective de l'homme » de Malevitch. Sandra Adam Couralet
Il y a deux manières de voir cette exposition : comme un moment charnière de l’histoire de l’art mais aussi comme un épisode de Dallas, que raconte Chagall dans « Ma vie » ! Stéphane Corréard
"Au diapason du monde" jusqu'au 27 août à la Fondation Louis Vuitton
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Présentation officielle :
« Au diapason du monde » dévoile dans l’ensemble des galeries du bâtiment de Frank Gehry, une nouvelle sélection d’artistes de la Collection réunissant des œuvres modernes et contemporaines, tous médiums confondus, pour l’essentiel jamais exposées en ce lieu.
Au-delà d’un accrochage, « Au diapason du monde » se veut une exposition sur la base d’une thématique précise. Celle-ci renvoie aux questionnements actuels liés à la place de l’Homme dans l’univers et à la nouvelle approche qui le lie à son environnement et au monde du vivant, soulignant les interconnexions entre l’humain, l’animal, le végétal voire le minéral.
Deux parcours complémentaires dans l’ensemble du bâtiment :
- Le Parcours A, présenté au niveau 2 du bâtiment (galeries 9, 10 et 11), offre une plongée dans l’univers de l’artiste japonais Takashi Murakami.
Le Parcours B, L’homme dans l’univers du vivant, réunit 28 artistes français et internationaux de générations différentes, toutes techniques confondues. Il s’étend sur les trois autres niveaux du bâtiment et à l’extérieur, dans le Grotto.
Pour plus d'informations, rendez-vous ici.
On peut voir "Au diapason du monde" soit comme une démonstration de force mais aussi comme un aveu de faiblesse car l’exposition montre ses limites en permanence. L’étage consacré à Murakami est un étalage de kitsch, et montre malheureusement la porosité entre la marque Louis Vuitton et la fondation. Stéphane Corréard
J’aime bien le titre de cette exposition qui nous rappelle que l’art est une vibration. Sandra Adam-Couralet
"Rodin et la danse" jusqu'au 22 juillet au Musée Rodin
Présentation officielle : Au printemps 2018, le musée Rodin met en lumière la rencontre de Rodin avec le monde de la danse. L’exposition s’articulera autour de la célèbre série des Mouvements de danse jamais exposée du vivant du sculpteur et d’une cinquantaine de dessins. La fascination de Rodin pour la danse sera évoquée à travers ses rencontres avec les danseuses de l’époque, telles que Isadora Duncan, Loïe Fuller, les danseuses cambodgiennes et Hanako la danseuse japonaise. Un corpus d’œuvres exceptionnelles réunira sculptures, photographies, dessins et antiques, plongeant le visiteur dans un univers de grâce et de poésie.
Commissaire d'exposition : Christine Lancestremère, conservateur du patrimoine, responsable du service de la conservation.
Rodin est un peu le Picasso de la sculpture. Il y a une identification manifeste entre la danseuse et le sculpteur. Les œuvres sont passionnantes et d’une réelle modernité. Stéphane Corréard
J’ai été un peu déçue sur la forme de l’exposition… Mais effectivement c’est émouvant car on ne voit jamais ces œuvres. J’ai été fanatique des formes dans le travail de Rodin. Corinne Rondeau
J’ai trouvé cette exposition enthousiasmante, Rodin est lui-même un chorégraphe ici. Sandra Adam-Couralet
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Programmation musicale :
♫ MNDSGN - Overture
♫ Christoph Willibald von Gluck - Iphigénie en Aulide Ouverture
♪ Générique de l'émission : Sylvie Fleury & Sidney Stucki, "She devils on wheels", extrait de l'album "Sound Collaborations 1996-2008" (label Villa Magica Records).
L'équipe
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