

Ce soir, cinéma avec deux figures emblématiques : Woody Allen et son "Wonder Wheel" et Steven Spielberg pour "Pentagon Papers". Enfin, retour en France vers "Gaspard va au mariage".
- Murielle Joudet Critique de cinéma
- Thierry Chèze Journaliste, critique de cinéma, directeur de la rédaction du magazine Première, animateur de télévision et de radio
- Corinne Rondeau Maître de conférences en esthétique et sciences de l’art à l’Université de Nîmes et critique d'art
Pentagon Papers, Steven Spielberg (sortie le 24 janvier)
Synopsis : Première femme directrice de la publication d’un grand journal américain, le Washington Post, Katharine Graham s'associe à son rédacteur en chef Ben Bradlee pour dévoiler un scandale d'État monumental et combler son retard par rapport au New York Times qui mène ses propres investigations. Ces révélations concernent les manœuvres de quatre présidents américains, sur une trentaine d'années, destinées à étouffer des affaires très sensibles… Au péril de leur carrière et de leur liberté, Katharine et Ben vont devoir surmonter tout ce qui les sépare pour révéler au grand jour des secrets longtemps enfouis…
Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies Publicité.
Ces cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt.
C'est d'une virtuosité absolue, un des plus beaux films que j'ai vu depuis un an. C'est un très grand portrait de femme et un très grand film sur la démocratie américaine. Murielle Joudet
Publicité
C'est un très bon film de divertissement mais très superficiel dans la manière dont il est traité. On est face à un public américain qui veut de l'efficacité. Corinne Rondeau.
Chez Spielberg il y a un goût du cinema qui demeure intact. J’aime sa mise en scène, le choix des acteurs. Ce film a un certain classicisme et frappe les esprits. Thierry Chèze.
Wonder Wheel, Woody Allen (sortie le 31 janvier)
Synopsis : Wonder Wheel croise les trajectoires de quatre personnages, dans l'effervescence du parc d’attraction de Coney Island, dans les années 50 : Ginny, ex-actrice lunatique reconvertie serveuse ; Humpty, opérateur de manège marié à Ginny ; Mickey, séduisant maître-nageur aspirant à devenir dramaturge ; et Carolina, fille de Humpty longtemps disparue de la circulation qui se réfugie chez son père pour fuir les gangsters à ses trousses.
Pour moi Woody Allen est un peu en pilote automatique. La lumière fait le film même si Storaro fait du Storaro, un sirop de lumière dégouline. Woody Allen fait du Woody Allen, il ne reste que les signes extérieurs de son cinéma. Murielle Joudet.
Ce film évite le meurtre et une sorte de moralisation et en même temps ce film a des pesanteurs. On n'a pas le même Woody Allen que celui de La rose pourpre de Caire. Corinne Rondeau.
Kate Winslet vous serre le cœur. Même si on est un peu au musée Woody Allen. Thierry Chèze.
Gaspard va au mariage, Antony Cordier (sortie le 31 janvier)
Synopsis : Après s'être tenu prudemment à l'écart pendant des années, Gaspard, 25 ans, doit renouer avec sa famille à l'annonce du remariage de son père. Accompagné de Laura, une fille fantasque qui accepte de jouer sa petite amie le temps du mariage, il se sent enfin prêt à remettre les pieds dans le zoo de ses parents et y retrouver les singes et les fauves qui l'ont vu grandir... Mais entre un père trop cavaleur, un frère trop raisonnable et une sœur bien trop belle, il n'a pas conscience qu'il s'apprête à vivre les derniers jours de son enfance.
Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies Publicité.
Ces cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt.
Ce film est différent sans souligner ses différences. Il y a un vrai art créatif dans ce film. Antony Cordier, dans sa manière de diriger ses comédiens, est très bon. Arnaud Laporte.
On a l'impression de voir un film sundance d'il y a dix ans. Mais on n'y croit pas du tout, c'est un bout à bout d'idées amusantes mais sans aucun récit. Murielle Joudet.
J'ai trouvé ce film plein de fraicheur, fait tout en tissage, il ne s'appesantit jamais. Corinne Rondeau.
J'ai complétement marché. Oui, les personnages sont extrêmes mais je suis rentré dans le film avec eux. Le jeu des acteurs est superbe. J'étais content d'être avec eux et triste de les quitter. Thierry Chèze.
Vos commentaires
Avant et pendant l'émission, réagissez et donnez votre avis sur le compte Twitter et la page Facebook de la Dispute.
L'équipe
- Production
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Production déléguée
- Chronique
- Chronique
- Production déléguée
- Collaboration
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Collaboration
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Réalisation
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Chronique
- Collaboration
- Chronique
- Chronique