Au sommaire de cette Dispute cinéma : "Un jour de pluie à New-York" de Woody Allen, "Ne croyez surtout pas que je hurle" de Frank Beauvais, "Bacurau" de Kleber Mendonça Filho et Julianoo Dornelles
- Julien Gester Chef du service culture de Libération
- Thierry Chèze Journaliste, critique de cinéma, directeur de la rédaction du magazine Première, animateur de télévision et de radio
- Charlotte Garson Rédactrice en chef adjointe des Cahiers du cinéma
"Un jour de pluie à New-York" de Woody Allen
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Présentation : Deux étudiants, Gatsby et Ashleigh, envisagent de passer un week-end en amoureux à New York. Mais leur projet tourne court, aussi vite que la pluie succède au beau temps… Bientôt séparés, chacun des deux tourtereaux enchaîne les rencontres fortuites et les situations insolites.
Avec : Timothée Chalamet, Elle Fanning, Selena Gomez
L'avis des critiques :
«Un Woody Allen que j’ai retrouvé avec plaisir dans une comédie romantique qui va vite, avec des acteurs formidables. » Arnaud Laporte
« Woody Allen de nouveau pertinent ! » Thierry Chèze
« Un film agaçant avec des mots d’esprit qui ne fonctionnent plus. » Charlotte Garson
« Une mise en scène, des dialogues, des comédiens qui ne me passionnent pas, une petite musique ennuyeuse. » Julien Gester
"Ne croyez surtout pas que je hurle" de Frank Beauvais
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Présentation : Janvier 2016. L'histoire amoureuse qui m'avait amené dans le village d'Alsace où je vis est terminée depuis six mois. A 45 ans, je me retrouve désormais seul, sans voiture, sans emploi ni réelle perspective d'avenir, en plein cœur d'une nature luxuriante dont la proximité ne suffit pas à apaiser le désarroi profond dans lequel je suis plongé. La France, encore sous le choc des attentats de novembre, est en état d'urgence.
Je me sens impuissant, j'étouffe d'une rage contenue. Perdu, je visionne quatre à cinq films par jour. Je décide de restituer ce marasme, non pas en prenant la caméra mais en utilisant des plans issus du flot de films que je regarde.
Avec : Frank Beauvais
L'avis des critiques :
« Un film excellent où l’on se perd dans les images, accompagné par une voix off qui nous transporte dans un quatrième plan. » Julien Gester
« Un film angoissant, mélancolique, qui m’a bouleversée. » Charlotte Garson
« Une litanie totalement envoûtante. » Thierry Chèze
"Bacurau" de Kleber Mendonça Filho et Julianoo Dornelles
Présentation : Dans un futur proche… Le village de Bacurau dans le sertão brésilien fait le deuil de sa matriarche Carmelita qui s’est éteinte à 94 ans. Quelques jours plus tard, les habitants remarquent que Bacurau a disparu de la carte.
Avec : Sônia Braga, Udo Kier, Barbara Colen
L'avis des critiques :
« Un film extrêmement fin, dans la manière dont il fait exister sa communauté avec une intelligence politique et historique qui diagnostique le futur du Brésil. » Julien Gester
« Un film mille-feuilles, riche, qui retombe vite dans le manichéisme de la résistance face aux envahisseurs capitalistes. » Charlotte Garson
« Un film en deux parties, exposition-explosion, les tueurs de l’âge nouveau contre les tueurs archaïques. Aucun personnage n’existe, tout cela reste caricatural. » Arnaud Laporte
« Un film de territoire et de résistance, qui frôle la série Z, un mélange des genres ambitieux mais boiteux. » Thierry Chèze
♥ Coup de cœur ♥ d'Arnaud Laporte pour "The Long Island Trilogy " une rétrospective de Hal Hartley en 3 films
Présentation : Après ses études cinématographiques à New York, Hal Hartley réalise son premier long métrage The Unbelievable Truth(1989), présenté au Festival de Toronto. En 1990, il signe Trust (Trust Me , sorti en France en 1992), son deuxième long métrage, primé dans de nombreux festivals internationaux, suivi en 1992 de Simple Men, qui est présenté en compétition officielle à Cannes.
Ces trois films constituent THE LONG ISLAND TROLOGY et marquent l’émergence d’un nouveau cinéma indépendant et la naissance d’un réalisateur américain des plus singuliers qui acquiert rapidement le statut d’un cinéaste culte, livrant des films hors norme et à contre courant du paysage cinématographique américain, loin de ses canons traditionnels. Dès son premier film, Hal Hartley devient un véritable phénomène, encensé par la critique et très bien accueilli par le public. Un ton unique, percutant et décalé imprègne ces films qui saisissent par leur originalité. Le cinéma d’Hal Hartley, profondément américain, est influencé par le cinéma européen, s’inspirant notamment de la liberté de ton des œuvres de la Nouvelle Vague française. L’ensemble de ces trois films forme un univers cohérent, dont les héros sont issus de la working class américaine, et dont un esprit de troupe s’en dégage: ses acteurs fétiches reviennent de film en film, tels Martin Donovan, Adrienne Shelly, Robert Burke, ou encore Elina Löwensohn.
THE LONG ISLAND TRILOGY ou la naissance d’un nouveau cinéma américain avec sa ligne claire et ses cadrages obliques, son sens de la répartie vigoureuse et du dialogue, souvent de sourds, sa poétique du décalage et de la répétition, son humour pince-sans-rire et son burlesque à froid, ses chorégraphies d’outsiders, de parias et d’exilés intérieurs.Hal Hartley parle alors comme personne d’amour, de sexe, de religion, de famille, et du monde dans lequel nous vivons.
Hal Hartley est un réalisateur américain dont la place et la trajectoire au sein du cinéma contemporain sont uniques. Uniques par leur style, leur force et leur originalité. Uniques, car il aura marqué toute une génération de cinéphiles durant les années 90 avant de s’engager dans une voie toujours plus indépendante et à contre-courant de son époque, au risque de disparaître du système. Aujourd’hui plus farouchement indépendant que jamais, Hartley écrit, finance, réalise et distribue des œuvres toujours plus exigeantes et qui ne ressemblent à aucune autre.
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