Ce soir, La Dispute portera sur l'actualité littéraire avec les critiques suivants :
- Philippe Delaroche (Lire)
- **Nathalie Crom ** (Télérama)
-** Laurent Nunez** (Magazine Littéraire)
**A propos des livres : **
-Lointain souvenir de la peau , Russell Banks (Actes Sud)
- Le studio de l'inutilité , Simon Leys (Flammarion)
- Forêt noire , Valérie Mréjen (POL)
-Lointain souvenir de la peau , Russell Banks (Actes Sud)
A Sotrm in goign to come , Piers Faccini

Philippe Delaroche : "C'est très documenté - j'ai vérifié ! Le livre est réussi sauf pour la dernière partie. La description des paysages urbains est formidable mais il lui manque la question dostoïevskienne."
Laurant Nunez : "Les quarante dernières pages sont un peu ratées. La fin est très bizarre : les personnages sont très essentialisés ; elle est soit sartrienne soit réactionnaire."
Nathalie Crom : "Ce pouvait être un livre à thèse mais il échappe complètement à ça, tout en trouvant quelque chose à dire sur les sociétés occidentales. Il en fait un roman vraiment incarné, c'est pour cela que je trouve que c'est un très grand romancier."
- Le studio de l'inutilité , Simon Leys (Flammarion)
Tea garden , Imade Saputra.

Laurant Nunez : "Au début, on craint que ce soit trop disparate. Il y a des choses très très bonnes, notamment une érudition sans aucune pédanterie. Certains articles sont pourtant trop courts."
Philippe Delaroche : "Deux mots, deux lignes de Simon Leys : je prends. C'est une façon très habile de décrire sa propre mise à distance, c'est un bonheur."
Nathalie Crom : "La limite que je trouve d'emblée : si on lit la presse, c'est un texte déjà lu. Après chaque texte est pétillant et intelligent."
- Forêt noire , Valérie Mréjen (POL)
Dark clouds rolling , Jean François Morin

Arnaud Laporte : "On est un peu perdu dans les premières pages du livre et pour moi c'est une belle sensation. C'est l'économie des mots, des phrases et des descriptions qui fait que ce livre me touche en plein coeur."
Nathalie Crom : "C'est vraiment un texte métaphysique sur le rapport entre vivants et morts et sur cette porosité qui passe par la mémoire et le souvenir. Il pose de manière très touchante et très émouvante ces questions."
Laurent Nunez : "Il n'y a rien qui vient transcender la banalité de la mort de ces quidams. C'est très fort : elle n'essaye pas de trouver un sens, il n'y a rien."
Philippe Delaroche : "Il y a une question qu'elle n'a pas creusé, c'est celle de la nouvelle, de l'annonce. Je crains que ce livre ne déprime abondamment. J'ai l'impression que c'est l'accessoire d'une installation et non un livre en soi."
Bien sûr la revue de presse littérature du jour, par Antoine Guillot.
Et le coup de fil à Laetitia Daget directrice du Festival Livres et Musiques de Deauville
Pastille sonore : Jean Dutourd.
L'équipe
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