Ce soir sur France Culture, La Dispute portera sur l’actualité musicale avec les critiques :
-Marie-Aude Roux du journal Le Monde
-Emmanuel Dupuy , rédacteur en chef du magazine Diapason
-Vincent Huguet de Marianne
**A propos des oeuvres : **
**Don Giovanni ** - opéra de Mozart, mis en scène par Michael Haneke et dirigé par Philippe Jordan et Marius Stieghorst (en alternance). à l'opéra Bastille jusqu'au 21 avril.
Vincent Huguet : "Dès les premières mesures il y a quelque chose de très beau et de très théâtral qui fait ressortir la mélancolie du personnage."
Arnaud Laporte : "Il y a quelques problèmes, de très grands décalages entre chanteurs et orchestre, ce dernier étant d'ailleurs très fort et donnait du mal aux chanteurs."
Emmanuel Dupuy : "Bastille est une salle trop grande pour faire du Mozart, il y a donc une certaine déperdition [acoustique]. J'ai été très heureusement surpris (...), c'est une direction très équilibrée mais à la fois très tendue quand il le faut, animée et théâtrale."
Marie-Aude Roux : "La direction de Jordan est fluide et élégante, pleine d'énergie - on est content d'être sortis de l'ère Camberling."
CD: Walzer Revolution de Nikolaus Harnoncourt (sony classics)
Arnaud laporte : "Je me suis rarement ennuyé autant ; cette révolution est partie sans moi !"
Emmanuel Dupuy : "Ce disque plaira beaucoup aux gens qui n'aiment pas les valses de Vienne avec leur côté précieux et sucré. Harnoncourt restaure la toile en enlevant dix couches de vernis."
Vincent Huguet : "Il y a une prise de parti forte et originale dans l'interprétation."
Marie-Aude Roux : "J'ai l'impression que ce disque est un immense pied de nez."
CD: Le Paradis Perdu - de Théodore Dubois (Aparté)
Vincent Huguet : "Une découverte, j'ai été émerveillé par l'originalité de l'oeuvre."
Marie-Aude Roux : "Une version extrêmement colorée qui met en valeur le raffinement de l'écriture alors que je m'attendais à quelque chose de plus académique, selon la réputation de Théodore Dubois."
Emmanuel Dupuy : "C'est une belle découverte. Théodore Dubois est un romantique assumé, qui propose quelque chose de dramatique qu'on pourrait presque représenter sur scène. Un bémol cependant : une pièce comme ça appelle le grand orchestre."
Bien sûr la revue de presse musique du jour, par Antoine Guillot .
Pastilles sonores :
- Francis Poulenc, La courte paille , recueil de sept mélodies.
- Don Giovanni : Ouverture, Don Giovanni (Acte II "Deh vieni alla finestra..."), Zerlina (Acte II "Verdrai carino..."), Sextet (Acte II "Mille torbidi pensieri"), Donna Elvira (Acte II "Mi tradi quell'alma ingrata").
- Walzer Revolution : CD 1 pistes 2 et 10 ; CD 2 piste 8.
- Le Paradis Perdu , Théodore Dubois.
L'équipe
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- Collaboration
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