

"Les Indes Galantes" de Rameau, mis en scène Clément Cogitore, "L’inondation", mise en scène Joël Pommerat, "Camille Saint-Saëns", Alexandre Kantorow
- Emmanuelle Giuliani Journaliste à La Croix
- Laurent Bury Rédacteur en chef adjoint du site forumopera.com
- Sophie Bourdais Journaliste à Télérama
"Les Indes Galantes" de Rameau
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Présentation : Œuvre‑phare du siècle des Lumières, Les Indes galantes s’apparente à un éblouissant divertissement. Mais le premier opéra‑ballet de Rameau témoigne également du regard ambigu que l’Européen pose sur l’Autre – Turc, Inca, Persan, Sauvage… En 2017, le réalisateur Clément Cogitore signe un film explosif et très remarqué, adaptant un extrait des Indes galantes avec le concours de danseurs de Krump. Avec la chorégraphe Bintou Dembélé, il s’empare cette fois de cette machine à enchanter dans son intégralité pour le réinscrire dans un espace urbain et politique dont il interroge les frontières.
Avec : Sabine Devieilhe, Florian Sempey, Jodie Devos, Edwin Crossley-Mercer, Julie Fuchs, Mathias Vidal, Alexandre Duhamel
L'avis des critiques :
« Une mise en scène peu convaincante, un peu court pour faire un opéra. » Sophie Bourdais
« Clément Cogitore ne fait rien des « Indes Galantes », l’ensemble est vide et lugubre. » Emmanuelle Giuliani
« Faire jouer cette œuvre à l’Opéra Bastille n’est pas raisonnable, c’est un exercice quasi impossible. » Arnaud Laporte
« Un refus ou une incapacité à mettre en scène le texte de Rameau, un néant scénique. » Laurent Bury
- Plus d'informations : "Les Indes Galantes", de Rameau, mise en scène Clément Cogitore // Jusqu'au 15 octobre à l’Opéra Bastille
"L’inondation"
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Présentation : Parce qu’ils ne peuvent pas avoir d’enfant, deux époux finissent par adopter une orpheline. L’adolescente se fait une place imprévue dans leur foyer et dans leurs coeurs.
Dans ce faubourg de Saint-Pétersbourg, la parole entre les époux s'est raréfiée et les silences deviennent pesants. Le monde que la femme s’est construit pour surmonter la tristesse de sa vie affective va se dérégler tandis qu’en cette fin d’hiver montent les eaux du fleuve.
À l’invitation de l’Opéra Comique, Joël Pommerat écrit pour la première fois un livret d’opéra original, et il a choisi pour sujet cette nouvelle d’Evgueni Zamiatine, publiée en 1929. L’écrivain de plateau partage avec le compositeur Francesco Filidei, dont c’est le deuxième opéra, l’élaboration du discours et du temps du spectacle. De leur collaboration étroite, de cette composition menée à deux pour la scène, en complicité avec musiciens et chanteurs, naît une nouvelle éloquence qui traduit la densité sourde d’une vie intérieure. Leur partition de sons, d’images et de silences est mise en scène par Joël Pommerat, et dirigée par Emilio Pomárico à la tête de chanteurs-acteurs intenses et habités.
Avec : Chloé Briot, Boris Grappe, Nahoun, Cypriane Gardin, Enguerrand de Hys, Yael Raanan-Vandor, Guilhem Terrail, Vincent Le Texier
L'avis des critiques :
« Émerveillé par cette partition d’une grande richesse. » Arnaud Laporte
« Une qualité des interprètes et des passages d’orchestre extrêmement bien interprétés. » Emmanuelle Giuliani
« Éblouie par la qualité du livret, par l’orchestre et par la cohérence du projet. » Sophie Bourdais
« Un spectacle trop long qui manque de rythme. L’écriture orchestrale est intéressante mais les partitions sont moins riches. » Laurent Bury
- Plus d'informations : "L’inondation", mise en scène Joël Pommerat // Jusqu’au 3 octobre à l'Opéra Comique, le 15, 16 et 18 janvier 2020 à l'Opéra de Rennes, le 29, 30 janvier et le 1er, 2 février 2020 à l'Opéra de Nantes
Camille Saint-Saëns, Concertos pour piano 3, 4 et 5 « Egyptien », (BIS records) Alexandre Kantorow

Présentation : Compositeur, pianiste virtuose, chef d’orchestre, enseignant, Camille Saint-Saëns était tout cela mais également archéologue passionné, astronome, botaniste, historien, illustrateur, poète et dramaturge. Voyageur aguerri, il était le compositeur le plus célèbre de son temps, acclamé en Amérique du Nord, en Amérique du Sud, au Moyen-Orient et en Europe. C’est ironique donc, que son œuvre si variée ne soit pas plus connue aujourd’hui - à l’exception de quelques œuvres donc le célèbre Carnaval des animaux. Jean-Jacques Kantorow et la Tapiola Sinfonietta ont déjà défendu la musique de Saint-Saëns dans plusieurs enregistrements. Pour cet album, ils sont rejoints par Alexandre Kantorow, le fils du chef d’orchestre nommé au Victoires de la musique classique.
L'avis des critiques :
« Un très jolie disque, une belle interprétation d’Alexandre Kantorow, mais j’ai une réserve sur la conduite générale de l’orchestre. » Sophie Bourdais
« J’ai beaucoup aimé l’interprétation avec un perlé et une pulsation magnifiques. Bluffée par la qualité de jeu. » Emmanuelle Giuliani
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