Musique : Yeti Lane, Rodolphe Burger, Soko

Ce soir sur France Culture, La Dispute portera sur l’actualité musicale avec les critiques :

**Olivier Lamm ** rédacteur en chef des pages musique de Chronicart, et The Drone

-Christophe Conte des inrockuptibles

Hugo Cassavetti chef du service musique de Télérama

**A propos des disques : **

**I thought I was an Alien ** *- * de Soko (Because)

**Je suis tombé sous le charme de certains morceaux, et d'autres m'ont prodigieusement agacés. ** Arnaud Laporte

**J'ai l'impression d'avoir une petite voix singulière, Soko, et pas juste une chanteuse de plus. ** Hugo Cassavetti

**Elle voudrait nous faire croire qu'elle est une petite colombe sortie de sa montagne. (...) Je suis fatigué de ce mythe du chanteur folk. ** Olivier Lamm

**C'est extrêment bien maîtrisé. (...) On sent l'artiste multipiste, un peu agaçante aussi. ** Christophe Conte

**The Echo Show ** - de Yeti Lane (Clapping music)

**Un disque qui joue sur une gamme étendue, ce qui est pour moi une force et une faiblesse. ** Arnaud Laporte

**On ne peut pas reprocher l'orfèvrerie de la chose. (...) Mais cela me laisse indifférent. ** Christophe Conte

Il y a une maîtrise assez aboutie de toutes ces musiques barbares. Hugo Cassavetti

This is a Velvet Underground song that I'd like to Sing - de Rodolphe Burger (Dernière bande)

C'est une fausse bonne idée, l'art de la reprise est délicat. Arnaud Laporte

**C'est incompréhensible. (...) Pour s'attaquer au velvet underground, il faut être soit idiot soit inconscient. ** Olivier Lamm

**Le Velvet a quelque chose de très sensuel, de très animal, de très charnel. Là, on est totalement en dehors de ça. ** Christophe Conte

Rodolphe Burger s'adresse à ses fans, qui connaissent par coeur le Velvet, et ça leur apporte rien . Hugo Cassavetti

Bien sûr la revue de presse musique du jour, par Antoine Guillot : Ça s’en va et ça revient

**Pris entre nostalgie d’un âge d’or fantasmé, frénésie de musiques festives et fascination pour un personnage tout à la fois attachant et détestable, les moins de 30 ans renouent sans complexe avec la folie Claude François. ** (L'Express).

Et le coup de fil à Jean Paul Scarpita , directeur de l'opéra de Montpellier, à l'occasion des représentations de Einstein On the Beach, de Philip Glass, mis en scène par Bob Wilson les 16, 17 et 18 mars.