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France Culture
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En raison d’appels à la grève émanant de l’ensemble des organisations syndicales représentatives de Radio France, nous ne sommes pas en mesure de diffuser l’intégralité de nos programmes habituels. Nous vous prions de nous en excuser.

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Au sommaire de cette Dispute Musique : "Magdalene", de FKA Twigs (Young Turks), "Apollo XXI", Steve Lacy (3qtr), "Kino Music", de Pierre Daven Keller (Kwaidan records), Coup de cœur de Philippe Azoury pour "Tomorrow’s gone", de Charlie Megira (Numéro).

En raison d’appels à la grève émanant de plusieurs organisations syndicales représentatives de Radio France, nous ne sommes pas en mesure de diffuser l’intégralité de nos programmes habituels. Nous vous prions de nous en excuser. *
"Magdalene", de FKA Twigs (Young Turks)

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Présentation : Fin 2012, FKA Twigs sort son tout premier EP, EP1, et devient très vite l’une des artistes les plus inspirantes de sa génération, de part ses prods électros expérimentales et bien entendu sa voix qui vous sussure des douceurs à l’oreille. Mais c’est avec EP2, produit par Arca, qu’elle est propulsée au sommet. Sort ensuite son premier album, LP1, nominé aux Grammys et Mercury Prize, qui comprend des productions de Sampha, Dev Hynes et Paul Epworth. Magdalene est donc son second opus produit en majorité par Nicolas Jaar, et enregistré entre Londres, New York et Los Angeles sur lequel FKA Twigs revient sur plusieurs épisodes douloureux de ces dernières années (la maladie, ses amours passés,...). On la retrouve ici à fleur de peau comme en témoigne le magnifique premier extrait Cellophane, désespéré à souhait. ‘Cet album a quelque chose de très fragile. Je l’ai fait pendant ma guérison – physique et mentale – et je pense qu’on le ressent clairement.’ La voix de Twigs n’a jamais autant sonné aussi claire et puissante que sur Magdalene, un album ambitieux, réussi qui rappelle les plus belles années de la carrière de Kate Bush.
L'avis des critiques : (à venir)
"Apollo XXI", Steve Lacy (3qtr)

Présentation : Steve Lacy est un jeune californien de 21 ans, qui est né et a grandi dans le quartier de Compton à Los Angeles, élevé par sa mère, avec ses trois sœurs. Il dit avoir vécu une enfance protégée, tranquille, bien loin des images de violence et de pauvreté que véhicule ce quartier. Il a commencé à jouer de la guitare à l’âge de 10 ans, et depuis, il y a quelque chose de passionnel entre lui et son instrument. C’est au lycée qu’il rencontre Jameel Bruner (pianiste, joueur de clavier) et rejoint son groupe, The Internet. Parallèlement à son rôle de guitariste et de compositeur au sein du groupe The Internet, Steve Lacy commence à produire de la musique avec des logiciels sur son i-Pod puis son i-Phone. C’est avec l’application Garageband et un i-Phone qu’il a réalisé son premier projet personnel, un EP de six titres intitulé sobrement « Steve Lacy’s Demos ». 
L'avis des critiques : (à venir)
"Kino Music", de Pierre Daven Keller (Kwaidan records)

Présentation : Apres ses trois Re´actions – Re´action A, Re´action B, Re´action C –, trois albums dans lesquels Pierre Daven-Keller explorait tanto^t les voies d’une certaine chanson pop, tanto^t les mysteres du quatuor a cordes sur le modele de ce qu’on a coutume d’appeler la Musique Nouvelle, voici venir Kino Music, un nouveau projet instrumental qui, comme son titre l’indique, se tourne de´libe´re´ment vers les couleurs du cine´ma et plus pre´cise´ment vers des cieux italiens. Pierre Daven-Keller n’en fait pas mystere : le modele ou plus exactement l’horizon de cet album, c’est Ennio Morricone versant pop et he´doniste, avec une touche de bossa nova et, par extension, un certain type de son de studio auquel on pourrait aussi rattacher un autre grand compositeur de la me^me ge´ne´ration, Burt Bacharach.
L'avis des critiques : (à venir)
Coup de cœur de Philippe Azoury pour "Tomorrow’s gone", de Charlie Megira (Numéro)

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