

Ce soir La Dispute est entièrement consacrée aux séries. Au sommaire les deux premières saisons de "La casa de papel" disponibles sur Netflix, la mini série de Philippe Faucon "Fiertés" diffusée sur Arte, ainsi que la nouvelle série "Barry" en cours de diffusion sur OCS City.
- Lucile Commeaux Productrice d'Affaire critique à France Culture
- Florence Colombani Journaliste.
- Joseph Ghosn Directeur de la rédaction des Inrockuptibles
"Fiertés" de Philippe Faucon jusqu'au 16 mai sur Arte +7
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Présentation officielle : Avec justesse, Philippe Faucon ("Fatima") retrace le combat pour les droits des minorités sexuelles en France à travers trois générations et trois destins d'hommes. Un récit émouvant, porté par un casting de haute volée (Samuel Theis, Stanislas Nordey, Frédéric Pierrot).
Au premier plan c’est l’intime dans toutes ses nuances. Par le singulier cela touche l’universel. La direction d’acteur de Philippe Faucon est formidable. Ma frustration vient du format. Je voulais en voir plus ! Florence Colombani
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J’ai trouvé cette série très attachante et profondément émouvante, notamment lorsque l’on se place au niveau de cette relation père-fils évoluant le long de ces trois épisodes. J’apprécie le côté très éphémère et le format de la série. Cela pointe que certaines choses qui n’étaient pas acceptées hier le sont aujourd’hui, mais que ce sont d’autres choses qui se jouent désormais. J’aime cette rapidité. Joseph Ghosn
J’aurais beaucoup aimé aimer. Il y a le problème du format : trop court pour traiter d’une telle période. J’ai malheureusement eu l’impression de voir un déroulé de scènes illustratives, édifiantes et éducatives. Arnaud Laporte
Je ne pense que ce soit une très bonne fiction, l’objet est très attachant et j’ai été émue. Mais les personnages ne se déploient pas et restent des supports. On sent le côté très pédagogique. Lucile Commeaux
"La Casa de Papel" d'Álex Pina, saisons 1 & 2 disponibles sur Netflix
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Synopsis : Huit voleurs font une prise d'otages dans la Maison royale de la Monnaie d' Espagne, tandis qu'un génie du crime manipule la police pour mettre son plan à exécution.
J’ai été assez déçu et je me suis ennuyé au départ. Et finalement, j’aime beaucoup la fin, les derniers épisodes sont réussis, même graphiquement. Joseph Ghosn
J’ai eu aussi ce regard qui a évolué, au départ nous sommes écrasés par les références, la vulgarité de la mise en scène. Ce qui finit par nous plaire est ce croisement d’ADN espagnol et cet habillage américain. Florence Colombani
Il y a aussi une école de jeu d’hispanique, outrée, qui nous est plus proche dans la représentation que ce que l’on voit dans les séries américaines. On a un concentré de références certes mais avec une forme d’excellence. Arnaud Laporte
"Barry" de Alec Berg et Bill Hader jusqu'au 14 mai sur OCS City
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Synopsis : Alors qu'il se rend à Los Angeles pour tuer une cible, Barry, un tueur à gages, se découvre une passion pour le théâtre.
Pour être séduit par cette série, il faut lui accorder du temps. Barry est une sorte de Forrest Gump, avec un rapport au monde décalé. La série est extraordinaire dans la caricature qu’elle fait du monde du théâtre. Florence Colombani
Mon intérêt s’est délié au fur et à mesure. Cela ressemble à beaucoup de choses déjà vues, notamment la série Weeds. La manière dont est traité le personnage de Barry me dérange également, on sent le côté "bonne conscience" qui écarte le cynisme. Lucile Commeaux
Il y a quelque chose de « Lynchien » Barry me rappel une incarnation de Cooper dans la saison 3 de Twin Peaks. C’est une série qui a quelque chose d’assez philosophique.Jospeh Ghosn
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♪ Générique de l'émission : Sylvie Fleury & Sidney Stucki, "She devils on wheels", extrait de l'album "Sound Collaborations 1996-2008" (label Villa Magica Records).
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