Spectacle : "La dernière bande", "Symphonia Harmoniae Caelestium revelationum", Le journal de la Dispute : quelles perspectives pour les textes de théâtre contemporain

"La dernière bande", "Symphonia Harmoniae Caelestium revelationum", "Un homme un animal"
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Au sommaire de cette Dispute spectacle : "La dernière bande", de Samuel Beckett, mise en scène de Jacques Osinski avec Denis Lavant, "Symphonia Harmoniae Caelestium revelationum", de François Chaignaud et Marie-Pierre Brébant et le "Journal" de Lucile Commeaux.

Avec

"La dernière bande", L’écrin rêvé pour un comédien indomptable

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Présentation : Beckett encore ! Après avoir essuyé ensemble les tempêtes de Cap au pire, Jacques Osinski et Denis Lavant s’attellent à la magnétique Dernière Bande.  À chacun de ses anniversaires, Krapp enregistre ses états et ses actions de l’année écoulée. Pour un soir, son vieil être avachi et son jeune être disparu vont dialoguer par magnétophone interposé…  L’écrin rêvé pour un comédien indomptable, et, pour le metteur en scène, “la pièce de théâtre parfaite”.

Avec : Denis Lavant

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Plus d'informations : " La dernière bande", de Samuel Beckett, mise en scène de Jacques Osinski // jusqu’au 30 novembre au Théâtre de L’Athénée

L'avis des critiques : « Un spectacle qui laisse des images théâtrales noires et nettes qui impriment notre imaginaire pour des années. J’ai été scotché sur mon fauteuil et j’avais l’oreille attentive, un magnifique spectacle. » René Solis

« Un spectacle millimétré est mélancolique qui offre une réflexion émouvante sur le temps qui passe. » Caroline Châtelet

« La mise en scène de Jacques Osinski est un magasin d’accessoires évidemment irremplaçable . Les voix créent un rapport au temps, à la vieillesse qui enveloppe le spectacle d’une atmosphère très sombre. Un texte qui s’extrait du lyrisme pour creuser le réel. Une épreuve particulière. » Lucile Commeaux

"Symphonia Harmoniae Caelestium revelationum", une expérience sensorielle propre au dépaysement émotionnel et mental

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Présentation : Pour les créateurs du spectacle, François Chaignaud et Marie-Pierre Brébant, il ne s’agit pas de produire un concert de musique médiévale, ni strictement un hommage à Hildegarde de Bingen, mystique du 12ème siècle, écrivaine, compositrice et médecin. Sortir de soi au moyen de l’inouï : telle est la proposition du duo. Être proprement « déplacé » par l’expérience inédite associant le son de la Bandura, luth d’origine ukrainienne, à ces chants aux influences qualifiées d’orientales par l’école classique qui leur succèdera et révoquera leur « tempérament » libre.

Plus d'informations : " Symphonia Harmoniae Caelestium revelationum__", créé par Marie-Pierre Brébant et François Chaignaud // jusqu’au 17 novembre au MC93 (la Maison de la Culture de Seine-Saint-Denis Bobigny)

L'avis des critiques : 

« Une très belle aventure, radicale et extrême, peut-être un peu longue. » René Solis

"Un spectacle extrêmement fort. La longueur est le sujet du spectacle. Le spectateur est au ras du sol dans une position de réception, une expérience de planétarium ou la lumière est très importante et qui donne une durée infinie au spectacle. Un conte qui brasse un imaginaire orientale, médiévale, qui tient de l’épopée. » Lucile Commeaux

« Plus qu’un spectacle, une expérience qui nous fait éprouver le mystère. » Caroline Châtelet

♥ Coup de cœur ♥ de Caroline Châtelet pour "Un dieu un animal" de Julien Fisera d'après le texte de Jérôme Ferrari

Plus d'informations : " Un dieu un animal", d’après le livre de Jérôme Ferrari,  mise en scène et adaptation de Julien Fišera // le 17 et 18 janvier 2020 au Théâtre de Vanves / le 23 et 27 janvier au Théâtre Alibi, Bastia / du 24 au 26 février au Théâtre Dunois, Paris / le 10 et 11 avril au Théâtre Aghja, Ajaccio

Le journal de la Dispute : Quelles perspectives pour les textes de théâtre contemporain

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