

Au sommaire de cette Dispute théâtre : "Palace", mise en scène de Jean-Michel Ribes au Théâtre de Paris, "Electre des bas-fonds", texte et mise en scène de Simon Abkarian au Théâtre du Soleil, "Stallone", mise en scène Fabien Gorgeart au Théâtre National de Bretagne
- Philippe Chevilley Chef du service culture des Echos
- Caroline Châtelet Journaliste culturel, membre de Revue Incise
- Marie-José Sirach Chef du service culture à L'Humanité
"Palace", un vent de folie libertaire.
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Présentation : Retrouvez à partir du 18 Septembre, la série culte "Palace", adaptée par Jean-Michel Ribes et Jean-Marie Gourio au Théâtre de Paris. "Ni souvenirs, ni nostalgie, simplement l’envie de laisser s’échapper sur scène la folie, le rire et l’émotion de ce Palace qui ne m’a jamais quitté, tout comme ceux avec qui je l’ai inventé." Jean-Michel Ribes. Une véritable percée de non-sens à l’audace joyeuse !
Avec : Salim Bagayoko, Joséphine de Meaux, Salomé Dienis-Meulien,Mikaël Halimi, Magali Lange, Jocelyn Laurent, Philippe Magnan, Karina Marimon, Gwendal Marimoutou, Coline Omasson, Thibaut Orsoni, Simon Parmentier, Christian Pereira, Alexie Ribes, Rodolphe Sand, Emmanuelle Seguin, Anne-Elodie Sorlin, Alexandra Trovato, Eric Verdin, Philippe Vieux, Ben Akl, Armelle Gerbault
L'avis des critiques :
« J’apprécie que Jean Michel-Ribes ne réactive pas simplement le Palace d’avant et y ajoutant des messages, des adresses et des pics incorrects qui osent faire entendre aux spectateurs du Théâtre de Paris certaines sentences irrévérencieuses. Le tout interprété par une très belle troupe. » Arnaud Laporte
« C’est honnête et respectable mais ce n’est pas le genre du théâtre qui m’enthousiasme .Un décor présent qui correspond à l’idée d’un palace, des costumes, des acteurs et des danseurs qui ne déméritent pas mais ça ne fonctionne pas malgré quelques saillies rigolotes. Le reste du temps ça fait flop, le contraste pauvre-riche, qui vivent la richesse par procuration me lasse vite. » Marie José Sirach
« Une bonne idée, peut-être un peu datée, les comédiens sont bien choisis, les décors installent bien l’ambiance. Le premier problème est la musique qui n’est pas très bonne ni glamour. L’humour absurde passe plutôt bien alors que les gags au second degré ne marchent pas. L’ambiance se délite et on ne retrouve pas la folie originelle du Palace. » Philippe Chevilley
« Cette pièce questionne la reprise et l’usure du temps. Ça ne fonctionne pas, une mécanique qui tourne à vide avec des sketchs qui tournent à plat, un second degré assumé dans les costumes et la musique mais qu’on ne retrouve pas dans les dialogues avec des blagues grivoises et graveleuses. » Caroline Châtelet
- Plus d'informations : " Palace", mise en scène de Jean-Michel Ribes // jusqu’au 24 novembre au Théâtre de Paris
"Electre des bas-fonds", une fresque épique enlevée, aux accents lyriques.

Présentation : Nous sommes dans le quartier le plus pauvre d’Argos. C’est le premier jour du printemps, on y célèbre la fête des morts, prostituées, serveuses, esclaves, les femmes se préparent pour le grand soir. Les meilleurs musiciens sont là. La fête va se refermer comme un piège sur Clytemnestre et son amant Egisthe. À force de prières, Électre a fait revenir le frère vengeur, Oreste. Électre des bas-fonds est conté comme une fable, mais à l’envers. La présence du chœur donne sa puissance aux histoires individuelles. Rock’n’roll et blues sont les poumons du récit. La danse, elle, continue là où s’arrêtent les mots.
Avec : 14 comédiennes-danseuses et 6 comédiens-danseurs
L'avis des critiques :
« Une tragédie rock métissée, ça danse et ça chante. La tribu de Simon Abkarian assure le show. Le texte est dit clair et fort de façon débridée. » Philippe Chevilley
« Simon Abkarian s’attaque à cette saga familiale terrible et sanglante en le transposant dans notre monde contemporain par une tragédie lyrique et grotesque. Un peu long, mais c’est généreux et le bonheur des acteurs à jouer est communicatif. Les costumes sont formidables. » Marie José Sirach
« Un travail de troupe lyrique et joyeuse qui n’oblitère pas le texte. Un travail qui tient, très généreux et énergique qui fait sienne cette tragédie par des préoccupations politiques contemporaines.» Caroline Châtelet
- Plus d'informations : " Electre des bas-fonds", texte et mise en scène de Simon Abkarian, musique écrite et jouée par le trio des Howlin’ Jaws// jusqu’au 3 novembre au Théâtre du Soleil
"Stallone", un spectacle de la poétique du combat et de l'éloge de la persévérance

Présentation : Rocky Balboa, mentor imaginaire d’une jeune étudiante en médecine. Emmanuèle Bernheim l’avait imaginé dans une de ses nouvelles que portent Clotilde Hesme et Fabien Gorgeart à la scène. Accompagnée par son complice musicien et comédien Pascal Sangla, l’actrice boxe les mots de l’écrivaine passionnée par la figure de Sylvester Stallone. Lise, 25 ans, est une secrétaire médicale à l’existence paisible. Tout bascule après une séance de cinéma : le film Rocky 3 lui fait l’effet d’une véritable épiphanie. Suivant l’exemple de l’ancien champion de boxe qui rempile pour un dernier tour de ring, Lise se lance à corps perdu dans la reprise de ses études de médecine. Avec Stallone, Clotilde Hesme et Fabien Gorgeart s’emparent de la nouvelle d’Emmanuèle Bernheim – publiée dans Le Monde en 2001- heureux d’amener la figure bodybuildée au plateau et de glisser ainsi ensemble du cinéma vers le théâtre.
Avec : Clotilde Hesme et Pascal Sangla
L'avis des critiques :
« Clotilde Hesme a l’œil du tigre, elle est excellente. La complicité avec Pascal Sangla est miraculeuse pour une mise en scène sobre, qui balance entre rire et larme. La dimension musicale et sonore joue avec une partition extrêmement précise. Une véritable passion amoureuse.» Arnaud Laporte
« Un dispositif théâtral minutieux où se noue une belle histoire d’amour entre l’actrice et la figure de Rocky, l’actrice occupe bien la scène par un jeu très physique de sauts et de courses. Un très beau portrait de femme. La musique est un personnage à part entière du plateau. C'est subtil et intelligent » Marie José Sirach
« Un spectacle épuré dans son dispositif et dans son jeu mais époustouflant dans ce qu’il présente. La pièce dépasse la stricte interprétation du roman pour muter pleinement sur la scène. » Caroline Châtelet
« Un petit spectacle total. Le personnage a une fascination pour Stallone, une délicatesse et une ambiguïté dans un jeu double, avec une actrice rare à l’énergie calme, énergique et naturelle, une belle surprise du festival d’automne. » Philippe Chevilley
- Plus d'informations : " Stallone", d’après le texte Stallone d’Emmanuèle Bernheim (Gallimard), mise en scène Fabien Gorgeart // dans le cadre du Festival d’Automne jusqu’au 26 octobre au Centquatre à Paris, du 6 au 9 novembre au Théâtre National de Bretagne, le 12 novembre à L’empreinte, scène nationale de Tulle, du 13 mai au 15 mai 2020 au Liberté, scène nationale de Toulon
Coup de cœur de Marie José Sirach pour "J’arriverai par l’ascenseur de 22h43"
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Présentation : Philippe Soltermann entend pour la première fois Hubert-Felix Thiéfaine à l’âge de douze ans. Le chanteur deviendra son rempart, sa balise artistique, son compagnon d’infortune. Dans un soliloque mêlant exaltation et ironie, il interroge l’irrationnel de l’admirateur et se livre à un véritable exercice d’équilibrisme. Sans retenir son souffle, l’auteur revient sur sa vie et propose en plus d’un hommage à son idole, le portrait de ce fan que nous avons tous été un jour.
- Plus d'informations : " J’arriverai par l’ascenseur" de 22h43, de Philippe Soltermann, mise en scène Lorenzo Malaguerra // jusqu’au 26 octobre au théâtre Les Déchargeurs // du 28 octobre au 30 novembre au Théâtre le Funambule-Montmartre
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