Comment un parti hérite-t-il d'une histoire radicale?

L'affiche du film Nous vengerons nos pères, de Florence Johsua et Bernard Boespflug
L'affiche du film Nous vengerons nos pères, de Florence Johsua et Bernard Boespflug
L'affiche du film Nous vengerons nos pères, de Florence Johsua et Bernard Boespflug
L'affiche du film Nous vengerons nos pères, de Florence Johsua et Bernard Boespflug
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Dans le cadre d'une journée spéciale France Culture sur le retour des radicalités, ce matin nous parlerons de la façon dont un parti qui s'est construit avec des actions plutôt radicales regarde au futur.

Retour des radicalités?

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Aujourd'hui une réflexion avec deux historiens sur l'histoire d'un parti qui s'est construit à partir d'une certaine radicalité et de quelle façon cet héritage influence ou pas sa façon d'évoluer et d'exister.

Bande d'annonce du film de Florence Johsua et Bernard Boespflug "Nous vengerons nos pères " Comic Strip Production France TélévisionsPublic Sénat

Ils s’appellent Chorowicz, Cyroulnik, Glichtzman, Feldhandler... Leurs familles, d’origine juive, avaient émigré en France dans les années 1920 et 1930 pour fuir la misère et l’antisémitisme. Elles venaient de Pologne, de Russie, de Lituanie. Elles ont été plongées dans l’horreur de la Shoah.

Eux sont nés en France, après-guerre. Ils ont grandi avec des fantômes. Ils en ont nourri une profonde colère, et pour certains des désirs de vengeance. Qu’est-ce qu’on fait de toute cette colère, quand on a vingt ans, dans les années 1960-70, et qu’on a envie de changer le monde ? Eux sont devenus militants.

Ce film retrace leurs histoires personnelles et militantes, et donne à voir, à travers leurs engagements internationalistes et profondément antifascistes, l’audace de ces années contestataires.

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