

Plusieurs villes du littoral atlantique ont attendu de longs mois avant d'être libérées par les forces alliées. A Saint-Nazaire ou Lorient, l'armée allemand tient ces "poches" jusqu'en 1945. Cette émission retrace leur histoire méconnue, et celle des "empochés", comme on appelait leurs habitants
Frédéric Dessberg (maître de conférences en histoire contemporaine à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, détaché aux écoles de Saint-Cyr Coëtquidan.), Jacqueline Sainclivier (professeur d'histoire contemporaine à l'université de Rennes 2), Stéphane Simonnet (docteur en histoire, chercheur associé à l’Université de Caen).
Il y a des villes françaises qui ont attendu le 8 mai 1945 et la capitulation allemande pour être libérées : Saint-Nazaire, la Rochelle ou encore Lorient ont compté au nombre de ces "poches" tenues par les Allemands sur ordre d'Hitler de longs mois après le débarquement. Saint-Malo -dont les combats de l'été 44 sont illustrés ci-dessus- fait partie des poches tombées plus tôt. Cette émission retrace l'histoire méconnue de ces villes, des "empochés" -comme on appelait leurs habitants-, et des enjeux politiques et stratégiques dont elles furent l'objet.
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