Nouville, histoire d’un bagne : épisode 1/4 du podcast Mon île est une prison

Vue du bagne pénitenciaire de l'île de Nou (Nouvelle-Calédonie) publié dans le journal L'Illustration, le 1er août 1868
Vue du bagne pénitenciaire de l'île de Nou (Nouvelle-Calédonie) publié dans le journal L'Illustration, le 1er août 1868 ©Getty - De Agostini Picture Library
Vue du bagne pénitenciaire de l'île de Nou (Nouvelle-Calédonie) publié dans le journal L'Illustration, le 1er août 1868 ©Getty - De Agostini Picture Library
Vue du bagne pénitenciaire de l'île de Nou (Nouvelle-Calédonie) publié dans le journal L'Illustration, le 1er août 1868 ©Getty - De Agostini Picture Library
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Nouville, histoire d’un bagne, un documentaire d’Anaïs Kien et Françoise Camar.

Avec
  • Emmanuelle Eriale directrice du site historique de Nouville (Nouvelle-Calédonie)
  • Yves Mermoud président de l’association Témoignage d’un passé (ATUP)

A la fin du XIXe siècle la France inaugure un nouveau bagne pour repousser ses indésirables. Citoyens criminels, parfois simples délinquants, opposants politiques comme les célèbres insurgés de la Commune, tous sont embarqués vers la Nouvelle Calédonie, autrement dit le bout du monde. Les bagnards y purgent leur peine, ils y meurent, ils s'y marient, leurs enfants ne verront parfois jamais la France. Ces colons forcés, côtoient leurs surveillants, l'armée, les Canaques assujetis à l'imperialisme français, les travailleurs japonais venus exploiter les mines, les colons libres également, autant de groupes humains qui fondent la singularité de la société calédonienne. Nous sommes à l'île de Nou, à l'endroit où débarquaient tous les convois de forçats et leurs geôliers, là où tout commençait...

Avec Emmanuelle Eriale, directrice du site historique de Nouville, Yves Mermoud, président de l’association Témoignage d’un passé (Atup),  et Louis-José Barban.

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Prise de son Marcos Darras

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