

Depuis l'annonce de son décès, c'est un véritable raz-de-marée dans la presse qui pleure la disparition du chanteur. Manque de distance de la part d'une certaine génération de journalistes ?
- Etienne Gernelle Directeur de la rédaction du Point
- Richard Werly éditorialiste France Europe pour le site d’informations Blick.fr
« Légendaire », « Une idole française », « Une éternelle jeunesse française », « Le rock est mort », « Un trésor national », « La France pleure », « Nous l’avons tant aimé » etc etc. Des numéros spéciaux, des pages et des pages et des pages avec une palme pour le Parisien, en numéro spécial depuis mercredi et jusqu’à demain. On le sait, finalement le président a décidé de ne pas faire de funérailles nationales, mais un « hommage populaire » aura tout de même lieu tout à l’heure pour être à la hauteur de l’immense vague d’émotion qu’a suscité la mort de Johnny. Un hommage qui ne devrait pas empêcher de se demander si les médias n’ont pas perdu la raison...
Richard Werly : "A la mort de Claude François, Libération avait titre "a volté", on était à la veille d'une élection.. Pour Johnny, aucun journal n'est s'est permis de faire de jeu mot."
- Le décès de Johnny Hallyday vu par Richard Werly, correspondant à Paris du journal suisse Le Temps : Sur les Champs-Elysées, le dernier feu Hallyday.
- Numéro spécial du journal Le Point en kiosque ce samedi : hommage à Johnny Hallyday
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