

Frida Dahmani, correspondante de "Jeune Afrique" en Tunisie et Ludovic Piedtenu, correspondant de Radio France en Allemagne.
- Frida Dahmani correspondante de Jeune Afrique en Tunisie
- Ludovic Piedtenu Journaliste, correspondant permanent de Radio France en Allemagne, ancien chef du service politique de France Culture
Les images de chaos à paris samedi dernier ont fait le tour du monde et la une des plus grands titres de presse internationaux, comme nous l’a raconté toute cette semaine Camille Magnard dans ses revues de presse et comme on peut le lire notamment dans le Courrier international paru jeudi. Aujourd’hui encore, les journaux français sont tous sur l’acte 4 de la mobilisation des Gilets jaunes, avec les craintes qu’il suscite d’un débordement de violences. D’où notre envie ce matin de prendre du champ, de nous éloigner du territoire national pour aller observer comment on perçoit la situation française ailleurs, en l’occurrence en Allemagne et en Tunisie.
Ludovic Piedtenu, correspondant de Radio France en Allemagne:
En Allemagne, les journaux se sont réveillés un peu tard, ce sont les événements de samedi dernier qui ont commencé à inquiéter les Allemands avec un intérêt sociologique. A partir de mardi, ils ont commencé à en parler surtout en évoquant la chute de Macron, de l’Empereur.
Frida Dahmani, correspondante de Jeune Afrique en Tunisie:
En Tunisie nous avons été interpellés par la résonance avec notre révolution, cet affrontement en plein centre de Paris provoque chez nous une certaine forme de sidération. On se dit qu'il y a un gros malaise, quelque chose est cassé en France.
Pour aller plus loin, C ourrier international, les "gilets jaunes" vus de l'étranger
Les articles de Frida Dahmani dans Jeune Afrique
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