- Marie Violaine Brincard
- Boubacar Boris Diop Journaliste et écrivain sénégalais
**1ère partie : Table critique ** avec François Angelier, Antoine Guillot et Valérie Klein
Autour des spectacles de danse de Mathilde Monnier Nos images et *Publique * au Théâtre de Gennevilliers et de l’album CD Initiales par la chanteuse"L" (Tôt ou Tard).
Et le coup de coeur de Véronique Klein : le spectacle PPP de Philippe Ménard.
**2ème partie : ** Boubacar Boris Diop et Marie-Violaine Brincard
Boubacar Boris Diop pour le livre *Murambi, le livre des ossements * (Zulma)
Marie-Violaine Brincard pour le film *Au nom du Père, de tous, du ciel * (en dvd auxéditions Doc Net Films)
Boris Boubacar Diop et Marie Violaine Brincard G. Prévot©Radio France
Chacun se souvient de ce qu’il faisait, de l’endroit où il se trouvait, des personnes avec qui il était le 11 septembre 2001. Mais où étions-nous il y a 17 ans, en avril 1994, que faisions-nous et que voyions-nous de ce qui se passait dans ce petit pays d’Afrique, le Rwanda ?
Que savions-nous des Tutsis, dont le nom évoquait d’abord un personnage de travesti au cinéma, avant celui d’un peuple en train de vivre un des pires moments de l’Histoire de l’humanité ? Pendant les trois mois qu’a duré le génocide rwandais, entre 800 000 et 1 million d’hommes, de femmes et d’enfants ont été massacrés, le plus souvent à coups de machettes, non pas dans l’indifférence générale mais presque. Il est vrai qu’à l’époque, comme le rappelle dans Murambi, le livre des ossements , Boubacar Boris Diop, notre premier invité, la planète avait les yeux tournés vers les préparatifs puis les matchs de la première coupe du monde de football organisée aux Etats-Unis. Indifférence générale ou presque. Ils furent quelques uns tout de même, au Rwanda, des Hutus, à risquer leurs vies pour sauver celles des autres, leurs voisins Tutsis. Des Justes que notre deuxième invitée, Marie-Violaine Brincard, est allée rencontrer pour son documentaire Au nom du père, de tous, du ciel . Un film et un livre qui participent au devoir de mémoire, à propos duquel Boubacar Boris Diop écrit qu’il « est avant tout une façon d’opposer un projet de vie au projet d’anéantissement des génocidaires ».
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