**1ère partie : Conversation **
A partir du film « La vierge, les coptes et moi » de Namir Abdel Messeeh
**Avec : ** Geneviève BRISAC Tobie NATHAN Gérard MORDILLAT
Tobie Nathan : « Après la défaite de 1967 (guerre des Six Jours), Nasser utilise la Vierge pour fédérer les communautés en Egypte. Mais tout se distant au fur et à mesure et aujourd’hui une apparition de la Vierge peut être vécue comme une catastrophe… »
Gérard Mordillat : « Ce qu’il y a de merveilleux avec les apparitions c’est la référence au cinéma qu’il y a derrière et ce qu’elles disent de notre rapport à l’image. Les ‘’christophanies’’ sont des prémonitions du cinéma : on peut voir le Christ sans le toucher, c’est un personnage réel qui n’est pas lui. L’apparition est une très belle métaphore du cinéma. »
Geneviève Brisac : « Les références à l’histoire de l’art sont multiples, notamment sur la représentation de la Vierge. Les petites filles du village s’amusent à prendre des pauses classiques de Vierge pour être sélectionnées à l’issue du casting. Le film de Namir Abdel Messeeh porte un regard drôle et léger. C’est un discours de la réalité contre l’idéologie. »
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