

Alors que le musée d’Orsay consacre en ce moment une grande rétrospective à Henri Rousseau (1844-1910), dit le Douanier Rousseau, la Grande table revient à son tour sur l’œuvre de ce « primitif moderne », tour à tour rejeté et célébré par ses contemporains.
Marion Alluchon (Historienne de l'art), Claire Bernardi (Conservateur Peinture au musée d'Orsay, commissaire d'expositions).
« C’est un peintre en tension entre deux époques » Marion Alluchon
Nous recevons à cette occasion la conservateur au Musée d’Orsay Claire Bernardi, co-commissaire de l’exposition « Douanier Rousseau, l’Innocence archaïque » qui ouvre ses portes du 22 mars au 17 juillet. Elle dialogue avec l'historienne de l’art, doctorante à l’université Paris I-Panthéon Sorbonne, Marion Alluchon qui interviendra le 12 mai dans le cadre du colloque « Inventer le Douanier Rousseau » au Musée d’Orsay, portant sur l’intégration de l’œuvre de Rousseau dans la contexte de l’entre-deux-guerres.
« Je pense que Rousseau jouait beaucoup de ce personnage naïf qu’on lui prêtait » Claire Bernardi
Sons diffusés :
- Archive INA septembre 1950, Marie Laurencin « Bonjour Monsieur Rousseau »
- Archive INA janvier 1955, Philippe Soupault « Le Bureau des rêves perdus »
- « Carte-postale », poème d’Apollinaire mis en musique par Francis Poulenc
Cliquez ici pour plus d’informations sur l’exposition. Et retrouvez le catalogue paru chez Hazan : Le douanier Rousseau, l’innocence archaïque.
Retrouvez aussi le carnet du Douanier Rousseau aux Editions courtes et longues, en partenariat avec le Musée d'Orsay.
Vous pouvez également trouver ici le hors-série de Connaissance des arts consacré au Douanier Rousseau. Ainsi que le hors-série de Télérama : le douanier rousseau charmeur de son temps.
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Retrouvez enfin ici le cinquième et dernier volet de notre série spéciale « travail », en compagnie des philosophes Marcel Gauchet et Serge Audier.
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