

Pour cette première partie d’émission, nous recevons le contre-ténor croate Max Emanuel Cenčić qui travaille depuis plus de quinze ans à ressusciter les chefs-d’œuvre de l’« opera seria » du début du 18ème siècle.
- Max Emanuel Cencic Contre-ténor (1976 Zagreb - )
« La mise en scène, c’est la possibilité de créer un monde à part »
Après avoir nous avoir plongés dans le Naples de l’époque des castrats en octobre dernier avec le disque « Arie napoletane » qui revisitait dix chefs-d’œuvre baroques jusqu’ici ignorés, Max Emanuel Cenčić s’attaque à une pièce également tombée dans l’oubli, l’« Arminio » d’Haendel, pour laquelle il a endossé à la fois le rôle de metteur en scène et de chanteur lors de l’ouverture du Festival Haendel à Karlsruhe le 23 février dernier. Sorte de contrepoint à ses « Arie », cet opéra en trois actes fait partie des œuvres haendéliennes où l’influence des compositeurs italiens est la plus prégnante. Produit à l’aide de sa maison de production « Parnassus arts production » qu’il a fondée en 1999, le disque paraîtra le 25 mars 2016 sous le label Decca.
« L’amour entre les humains, l’amour de Dieu, l’amour comme une espèce de sentiment pas complètement compréhensible, est une grande source d’inspiration »
Pour plus d’informations sur les concerts à venir : http://www.deccaclassics.com/fr/artist/cencic/ontour
Sons diffusés :
- Scarlatti – Arie Napoletane par Cenčić
- Haendel « Arminio » par Cenčić
- Mozart « La flûte enchantée » acte 2 par Cenčić
- Haendel – « Arminio » par Cenčić
Retrouvez ici la seconde partie de la Grande table pour un débat autour de la place du religieux en compagnie du directeur de la rédaction de la revue « Esprit » Jean-Louis Schlegel et du philosophe Yvon Quiniou.
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