Migrants : les réseaux invisibles

Migrants : les réseaux invisibles
Publicité

On ne compte plus les migrants qui s’échouent – s’ils les atteignent – sur les côtes de la Méditerranée, victimes des Trafiquants d’hommes . Mais quel est le visage de ces derniers ? Après deux ans d’enquête, deux auteurs italiens tentent de décrire de l’intérieur ce système invisible, sans chef, organisé par des hommes qui passent pour des « bons gars » mais qui savent cacher leurs millions. >

Migrant interdiction
Migrant interdiction

Publicité

> Avec Giampaolo Musumeci, ** reporter,et Andrea Di Nicola** **, ** criminologue, signent l’enquête Trafiquants d’Hommes (Liana Levi, avril 2015).

Andrea Di Nicola :

Pour afficher ce contenu Twitter, vous devez accepter les cookies Réseaux Sociaux.

Ces cookies permettent de partager ou réagir directement sur les réseaux sociaux auxquels vous êtes connectés ou d'intégrer du contenu initialement posté sur ces réseaux sociaux. Ils permettent aussi aux réseaux sociaux d'utiliser vos visites sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.

Pour afficher ce contenu Twitter, vous devez accepter les cookies Réseaux Sociaux.

Ces cookies permettent de partager ou réagir directement sur les réseaux sociaux auxquels vous êtes connectés ou d'intégrer du contenu initialement posté sur ces réseaux sociaux. Ils permettent aussi aux réseaux sociaux d'utiliser vos visites sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.

Giampaolo Musumeci :

Les murs n'empêchent pas les migrants de passer. La militarisation ne marche pas. On a la preuve que cette stratégie ne fonctionne pas.

Dans les idées au quotidien de Raphaël Bourgois : "Pourquoi faut-il remonter aux sources du malaise européen ?" Il fait référence à un article de Monique Castillo et Jean-Marc Ferry dans le dernier numéro de la révue Etudes

Pour réécouter la première partie de la Grande Table, cliquez-ici

L'équipe