Symphonie pour un homme seul , Le Sacre du Printemps , Boléro , Messe pour le temps présent , Bhakti , L’Oiseau de feu , Le Mandarin merveilleux , Casse Noisette ou encore Brel et Barbara : tous ces spectacles sont d’un même homme, une figure de l’art du 20ème siècle, mort en 2007, et dont sa compagnie fête cette année son 26ème anniversaire. Que reste-t-il de Maurice Béjart cinq ans après sa disparition ?
En ce moment et jusqu’au 15 juin, au Théâtre national de Chaillot, le Béjart Ballet Lausanne joue LIGHT ** (6-** 15 juin 2013 ) , une chorégraphie de 1981. L’occasion pour nous de revenir sur l’œuvre du maître de la danse moderne.

Avec :
François RAFFINOT , chorégraphe
**Gil ROMAN, ** directeur artistique du Ballet Béjart
**Ariane DOLLFUS, ** critique de la danse
et par téléphone ** Emmanuelle Huynh** , danseuse, aux Rencontres Internationales d’Ecole de Danse - Schools III du 29 juin au 4 juillet à Montpellier
**Sons diffusés : **
- Archive de Maurice Béjart dans « Une vie, une œuvre » sur France Culture le 31 octobre 2010
- « Waterfront Seat » interprété par Tuxedomoon
Pour poursuivre la discussion, retrouvez ci-dessous les principaux documents et ouvrages évoqués dans l’émission, ou rendez-vous sur la page Facebook et le compte Twitter de La Grande Table.
Pour accéder à la première partie de La Grande Table du * 11.06.13 * intitulée « Pourquoi préfère-t-on parler de guerre des sexes plutôt que d’égalité des sexes ? », cliquez ici.
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