

2018 marque les 40 ans de la disparition de Jacques Brel. David Dufresne, auteur de "On ne vit qu’une heure : une virée avec Jacques Brel" et Dick Annegarn, avec son nouvel album "12 villes, 12 chansons", sont les invités de la Grande table. En partenariat avec "Le Nouveau Magasine littéraire".
- Dick Annegarn Compositeur-interprète, auteur, guitariste, pianiste
- David Dufresne Journaliste
Jacques Brel : un corps, une voix, une gueule. Et tout ça bien à lui. Une génération marquée par des titres comme « Vesoul » ou « Ne me quitte pas », qui résonnent encore aujourd’hui alors que l’on célèbre les 40 ans de la disparition du chanteur du « plat pays ». Au cours de sa carrière, des interprétations époustouflantes et un verbe dont la singularité et la sensibilité ont touché à vif nos deux invités, l’écrivain David Dufresne et le chanteur Dick Annegarn.
Le premier souvenir, c’est cet album bleu, « Les Marquises », qui venait de sortir, qui est là dans le salon. Et je m’intéresse assez peu à cette musique-là à ce moment-là, je m’intéresse plutôt au rock n’roll. Et puis petit à petit, j’ai ce Monsieur, ce Jacques Brel, qui vient me dire « Mon petit bonhomme j’ai des choses à te raconter sur la vie ». Et il change ma vie. David Dufresne
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Il y a le cuivré de la voix de Brel. Ce qui m’étonne, c’est qu’à la fin de sa vie il avait le même cuivré que « L’homme de la Mancha » et dans cette version-là, qui était quand même les années 60, où il avait sa voix rocailleuse. Mais bon « Vesoul » cache quand même aussi une scène de ménage visiblement. Dick Annegarn
Les grandes obsessions de Brel, celles qui résonnent le plus, c’est justement oui celle-ci, c’est-à-dire haro sur l’hypocrisie, haro sur l’immobilisme, pour ce qu’il appelait l’embourgeoisement en fait. David Dufresne
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