Il était une fois Mathieu Lindon

Mathieu Lindon en 2011
Mathieu Lindon en 2011 ©AFP - Martin Bureau
Mathieu Lindon en 2011 ©AFP - Martin Bureau
Mathieu Lindon en 2011 ©AFP - Martin Bureau
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Avec Mathieu Lindon, écrivain, pour la publication de Moi, qui que je sois (P.O.L, 2020).

Avec

L'odeur a un sens concret et un sens abstrait, symbolique et j'ai voulu voir de comment le sens symbolique est intégré au sens concret. Le livre s'ouvre sur une odeur nauséabonde. Elle aurait la sensation de perdre son identité si elle n'était plus nauséabonde car elle ne se ressent pas comme tel.      
(Mathieu Lindon)

Le futur relève ou peut relever du conte de fée. Par définition, le futur est un horizon mobile, inaccessible, qu'on atteint jamais, il recule quand on avance. On ne peut pas le toucher.      
(Mathieu Lindon)

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Je parle du sexe faisant l'amour, du sexe dans la jouissance mais aussi de la particularité du sexe qui est d'être souvent inutilisé, souvent inactif.      
(Mathieu Lindon)

Le respect que j'ai pour la littérature est tel que l'irrespect est tout à fait possible. J'ai toujours eu le sentiment que j'écrirais et cela s'est produit, je ne sais pas pourquoi.    
(Mathieu Lindon)

Henri Leblanc propose par ailleurs un bilan de la cérémonie des Golden Globes qui se tenait cette nuit aux Etats-Unis.

La Grande table idées
33 min

Extrait sonores

  • Interview de Michel Foucault
  • Pierre Vassilu, L'oiseau

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