Le jour de la fête des morts au Guatemala, la grand mère de J.Bustamante faisait le pain des morts, qui s'échangeait ensuite entre voisin.
Nous avons rencontré le réalisateur guatémaltèque Jayro Bustamante qui vient de sortir La Llorona au cinéma, pour lequel il a remporté le prix de la réalisation à la Mostra de Venise l'an dernier.
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La llorona, selon la légende Maya, c’est un fantôme, une femme qui cherche et pleure ses enfants. Et dans le film, elle poursuit jusque dans leurs rêves la famille d’un dictateur accusé de génocide au Guatemala...
Le film explore le thème de la responsabilité des enfants dans le crime de leurs pères et soulève la question de la place des indiens au Guatemala, une société où plus de 60% de la population est d’origine Maya.
Alors j’ai rencontré Jayro bustamante dans un bistrot parisien, mais c’est près du four de sa grand mère Maya qu’il m’a emmené pour sa Madeleine…
S'il devait y avoir une image de la générosité, ce serait ma grand mère en train de pétrir la farine devant des piles de pains
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