Ryoko Sekiguchi : "Je me souviens du crépitement des haricots, la nuit"

L'osekihan, un plat de riz et d'azuki, le haricot rouge japonais
L'osekihan, un plat de riz et d'azuki, le haricot rouge japonais - Getty
L'osekihan, un plat de riz et d'azuki, le haricot rouge japonais - Getty
L'osekihan, un plat de riz et d'azuki, le haricot rouge japonais - Getty
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L'Osekihan

Nous avons rencontré la traductrice japonaise Ryoko Sekiguchi dans la librairie Yvon Lambert à Paris où elle signait l’une de ses nouvelles parutions publiée chez JBE Books, “Sentir”, où cette amoureuse des mots de la cuisine et de la nature entreprend un parcours poétique en Champagne. Et je dis une de ses nouvelles parutions tant elle son nombreuse en ce début d’année 2021. On peut aussi cité son ouvrage sur l e curry japonais aux Éditions de l’Épure, ou  la réédition du magnifique Nagori chez folio, où elle explore cette saudade japonaise,la  Nagori, qui renvoie à la nostalgie de la saison qui vient de nous quitter. 

Nagori
Nagori
- Ryoko Sekiguchi, Folio Gall.

Ryoko Sekiguchi vit dans un tourbillon de mots, de saisons, et de cuisine. Mais quand je lui ai parlé de la madeleine, elle n’a pas hésité une seconde, c’était bien l’Osekihan de sa grand mère… 

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