

Pourquoi les acteurs de l'Imaginaire ont-ils décidé de se mobiliser autour d'une pétition visant à promouvoir le genre ? Pourquoi le défendre aujourd'hui ?
- Olivier Girard Editeur, fondateur des éditions du Bélial'
- Catherine Dufour Romancière, auteure de science-fiction et ingénieure informatique
- Jérôme Vincent Directeur d'ActuSF
« Tous les matins, nous nous réveillons avec une actualité qui aurait pu être une nouvelle de science-fiction il y a 30 ans. » Ce constat, c’est celui du directeur éditorial de Mnemos, l’une des maisons d’édition à l’origine de l’Appel de l’Imaginaire, qui le dresse. Et de fait, la science-fiction est plus populaire que jamais : cinéma, série, jeux vidéos, littérature jeune adulte, jamais le public n’aura été aussi avide de science-fiction qu’aujourd’hui. Et pourtant, l’édition dite « de l’imaginaire » est à la peine. Les ventes de livre ne suivent pas cet engouement populaire, et des titres qui relèvent pourtant de la SF sont récupérés par les collections dites « blanches » au détriment des éditeurs spécialisés. Il y a urgence à sauver les anticipateurs.
Que résonne l’Appel de l’Imaginaire, c’est l’ambition qui est la nôtre aujourd'hui.
Et pour faire résonner puissamment cet appel nous avons le plaisir d’accueillir aujourd’hui Jérôme Vincent, directeur des éditions ActuSF, et qui est à l’origine de cet Appel de l’Imaginaire lancé fin mars au Salon Livre Paris ; Catherine Dufour, romancière, double lauréate du Grand Prix de l’Imaginaire qui est la consécration suprême de ces littératures en France, l’équivalent du prix Hugo et Olivier Girard, co-fondateur des éditions du Bélial, signataire de l’appel.
La raison d'être de la science-fiction est la vulgarisation destinée à faire comprendre aux lecteurs à quelle sauce les laboratoires les mangeront demain. - Catherine Dufour
La science-fiction, c'est une capacité à faire un pas de côté, elle nous invite à voir les choses autrement et tout est possible. - Olivier Girard
Le fil de l'émission
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Les références musicales
"Burn The Witch", Radiohead
Générique du début : "Music to watch space girls by" par Leonard Nimoy
Générique de fin : "Bergschrund" par DJ Shadow
L'équipe
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