

Des employés d’Alstom quittant une réunion contre la fermeture du site de Belfort, le 13 septembre 2016. ©AFP - SEBASTIEN BOZON
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Manuel Valls a assuré hier qu'une solution serait trouvée pour sauver l’usine d'Alstom à Belfort. L'Etat français contrôle aujourd'hui 20% du capital et des droits de vote d'Alstom. Concrètement, peut-il s’opposer à la fermeture du site de Belfort ?
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- Pierre François Sociologue, enseigne à Sciences Po et Polytechnique, directeur de recherche au CNRS, travaille sur la gouvernance des firmes.
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