Plaquettes de pilules contraceptives. Photo prise le 2 août 2005. ©AFP - MYCHELE DANIAU
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Résumé
En 2012, la pilule était en partie accusée de provoquer des pathologies veineuses et artérielles. Début septembre, un livre la présentait comme un « scandale sanitaire ». Dans les pratiques, une enquête publiée lundi confirmait la désaffection pour le moyen contraceptif le plus utilisé en France.
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Danielle Hassoun (gynécologue-obstétricienne, a fait partie de l’équipe de recherche de l’enquête Fécond, sur les pratiques contraceptives en France, sous la direction de Nathalie Bajos.).
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Mais au lendemain de la journée mondiale de la contraception, une question se pose : faut-il arrêter d’arrêter la pilule ?
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