Psychotropes : des médicaments qui rendent violent ?

La prise de médicaments psychotropes est l'un des plus grands dénominateurs communs parmi ceux qui ont commis un meurtre-suicide
La prise de médicaments psychotropes est l'un des plus grands dénominateurs communs parmi ceux qui ont commis un meurtre-suicide ©Getty - Dwight Eschliman
La prise de médicaments psychotropes est l'un des plus grands dénominateurs communs parmi ceux qui ont commis un meurtre-suicide ©Getty - Dwight Eschliman
La prise de médicaments psychotropes est l'un des plus grands dénominateurs communs parmi ceux qui ont commis un meurtre-suicide ©Getty - Dwight Eschliman
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Qu’ont en commun la tuerie de Las Vegas, le crash du vol 9525 de Germanwings ou le meurtre de ses deux enfants par le docteur Jean-Yves Verdin ? Les auteurs de ces massacres avaient consommé des médicaments psychotropes.

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En cause notamment : des antidépresseurs, somnifères ou tranquillisants qui au lieu d’apaiser les troubles psychiques, ont parfois pour conséquence de les amplifier. Selon Roger Lenglet, philosophe et journaliste d’investigation, le rôle de ces produits pharmaceutiques dans les meurtres-suicides ne doit pas être traité comme une donnée périphérique. Il a mené l’enquête dans son essai “Psychotropes et tueries de masse”.