
Même s'ils restent globalement épargnés par les affrontements, les habitants du centre de Damas ressentent malgré tout d'autres conséquences de cette guerre. Dans la capitale, les prix se sont envolés comme l'a constaté notre envoyée spéciale Valérie Crova.
Contre toute attente, le cessez-le-feu partiel décrété en Syrie semble respecté, ce mercredi matin encore. Déjà quatre jours de trêve après bientôt cinq années de guerre.
Le conflit a fait à ce jour plus de 370 000 morts. Les réfugiés et les déplacés se comptent en millions. La pauvreté est désormais visible partout, à commencer bien sûr par les provinces où se déroulent les combats.
Même s'ils restent globalement épargnés par les affrontements, les habitants de Damas ressentent malgré tout d'autres conséquences de cette guerre.
Dans la capitale, les prix se sont envolés comme l'a constaté notre envoyée spéciale Valérie Crova.

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