
C’est quand il rase le sol que le soleil brille le mieux, c’est à la dernière minute qu’on a soif de la vie, c’est sur le quai de la gare que les amants s’aiment le plus et c’est juste avant de mourir que Rousseau écrit son meilleur livre : les rêveries du promeneur solitaire. Le crépuscule a la sagesse, la finesse des sentiments indécis. Il brille de guerre lasse et la tête haute. Le crépuscule est, à tous égards, le contraire de la nuit. Et les *Rêveries du promeneur solitaire * sont le rayon vert de Jean-Jacques Rousseau à qui on peut faire tous les reproches, sauf celui d’avoir raté sa sortie.
A la lecture :** Julie-Marie Parmentier**
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Mais aussi,** des extraits du Devin du village de Rousseau ...**
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