Zadig de Voltaire

Buste de Voltaire par le sculpteur Jean-Antoine Houdon
Buste de Voltaire par le sculpteur Jean-Antoine Houdon ©Getty - Barney Burstein/Corbis/VCG
Buste de Voltaire par le sculpteur Jean-Antoine Houdon ©Getty - Barney Burstein/Corbis/VCG
Buste de Voltaire par le sculpteur Jean-Antoine Houdon ©Getty - Barney Burstein/Corbis/VCG
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Zadig est un régal de lecture, une fantaisie délicieuse et sans prétention où l’on trouve néanmoins quelques perles d’intelligence qui méritent non pas qu’on s’y arrête mais qu’on s’y promène.

Petites causes, grands effets. C’est le thème du jour. A l’époque où il rédige Zadig, le gentilhomme Voltaire est plein d’amertume. Son bonheur est lointain et son couple bat de l’aile. Il n’en faut pas davantage à un grand écrivain pour qu’il en fasse une parabole où il dénonce les juges, les courtisans, les femmes infidèles, les hommes imbéciles et les prêtres fanatiques...

Faut-il se résigner aux desseins de la Providence sans chercher à les comprendre ? Pourquoi vaut-il mieux hasarder de sauver un coupable que d’emprisonner un innocent ? N’y a-t-il point de mal dont il ne naisse un bien ? Bienvenue à Babylone...

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A la lecture : Julie-Marie Parmentier 

A la réalisation : François Caunac

Les Chemins de la philosophie
57 min

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