

Comment considérer la place complexe de la santé mentale, de la santé psychique, dans la santé elle-même et dans la médecine ?
Il y a un grand paradoxe avec la place de la folie dans notre pensée et dans notre société, qui tantôt réserve une place centrale à la folie ou à la maladie qu'on dit mentale, tantôt l'exclut, et l'oublie pour le meilleur et pour le pire - parce qu'on croit qu'elle ne pose plus de problème ou parce qu'elle en pose trop.
La place de la folie, une place toujours compliquée, dans la santé elle-même
La place de la santé mentale, de la santé psychique, de la folie, est toujours compliquée, dans la santé elle-même, dans la médecine. Comment leur faire leur part ? Comment situer cette étrange dimension de nos vies, de nos corps et de nos relations inter corporelles dans l'ensemble de nos expériences de la maladie ou de la santé, de la médecine et du soin ?
D'une certaine façon, l'expérience contemporaine de la pandémie a porté cette dimension à l'extrême. Nous avons là un virus, qui n'affecte en apparence pas du tout les esprits, qui affecte avant tout le corps jusqu'à la possibilité même de la mort, mais nous en voyons aussi la dimension psychique, de la plus grave à la plus minime (...).
La chronique est à écouter dans son intégralité en cliquant dans le haut de la page.
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