

Antoine Desrosières filme le parcours amoureux et sexuel de deux adolescentes, questionnant le consentement et les façons de le comprendre, et Jean-Stéphane Sauvaire suit le parcours de Billy Moore qui s’est reconstruit et a trouvé sa liberté emprisonné en Thaïlande, la boxe thaï comme exutoire...
- Jean-Stéphane Sauvaire réalisateur, producteur et scénariste
- Michel Ciment critique de cinéma, écrivain, producteur de radio
- Antoine Desrosières réalisateur, scénariste, acteur et producteur
Mercredi cinéma
- avec Antoine Desrosières, réalisateur de À genoux les gars en salles le 20 juin
Antoine Desrosières signe À genoux les gars, coécrit avec ses deux interprètes féminines que sont Souad Arsane et Inas Chanti qui incarnent deux adolescentes d’aujourd’hui au cœur d’un film qui questionne des sujets brûlants : désir féminin, désir masculin, consentement, sextape et chantage…
Je travaille sur le lien qu’il y a entre frustration et violence en essayant de réfléchir au travers de ce diptyque -À genoux les gars et mon précédent film Haramiste- sur le lien qu’il y a finalement entre les interdits culturels en général, de toutes les cultures, et de la violence, avec l’utopie d’un monde où il y aurait moins d’interdits et moins de violence...
Antoine DesrosièresPublicité
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- et Jean-Stéphane Sauvaire, réalisateur d’Une prière avant l’aube, en salles le 20 juin
Jean-Stéphane Sauvaire retrace l’histoire vraie de Billy Moore, un jeune boxeur anglais de Liverpool incarcéré en Thaïlande pour détention de drogue. Dans l’emprisonnement, il se reconstruit et trouve sa liberté en découvrant la boxe thaï, un exutoire. Tous les jours, il combat pour survivre et se réaliser.
Le film a été tourné en Thaïlande dans une prison qui venait d’être abandonnée et où des ex-prisonniers restituent à l'écran leur ancienne vie de détenus.
Jean-Stéphane Sauvaire joue avec les codes du genre et propose une véritable immersion.
C’était un challenge de faire ce film car de grands films de boxe existent et la plupart des films de boxe construisent les combats par le montage, rapide et haché, qui permet de croire à l’illusion du coup. J'ai voulu tourner tous les combats en plan-séquence, ce qui n’avait jamais été fait.
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En positif et en négatif
La chronique cinéma de Michel Ciment, de la revue mensuelle de cinéma Positif.
- Coup de coeur pour Une année polaire de Samuel Collardey, en salles depuis le 30 mai 2018.
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- Déception pour Sicilian Ghost Story de Antonio Piazza et Fabio Grassadonia, en salles depuis le 13 juin 2018.
- À retrouver également dans Positif : un grand dossier thématique sur le singe à l'écran.
L'équipe
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- Collaboration