Oubliés pendant le confinement, les jeunes sont aujourd'hui confrontés à une grave crise économique qui plonge leur avenir dans l'incertitude. Les mesures annoncées ces derniers jours par le gouvernement peuvent-elles leur permettre d'éviter le pire ?
- Mélanie Luce Présidente de l'UNEF
- Aurélien Cadiou Président de l'Association Nationale de l'Apprentissage Français
- Antoine Dulin président de la commission Insertion et Jeunesse du Conseil économique, social et environnemental (Cese)
Dans les quelques enquêtes journalistiques publiées sur ce thème depuis le début du déconfinement, les jeunes étudiants ou apprentis témoignent des difficultés qu’ils ont à trouver aujourd’hui des stages ou des contrats quand l’économie peine à redémarrer. Et même quand ils ont enfin réussi à trouver un emploi, "le plus facile à faire sauter, c’est moi" dit l’un d’eux sous anonymat.
Le gouvernement a récemment annoncé un plan pour l’apprentissage. Suffira-t-il ? Quant aux étudiants, certains d’entre eux souffraient déjà durement avant la crise, et ces difficultés ont encore été aggravées depuis.
Si l’on en croit un article récent du "Monde", le Président de la République s’inquiéterait même de la situation de la jeunesse "qu’il ne faut pas perdre" selon lui. Que se passe-t-il pour cette génération qui espérait entrer rapidement dans la vie active ?
Depuis le début du confinement, l'équipe du Temps du débat a rassemblé sur le site de France Culture plus d'une cinquantaine de textes d’écrivains, d’artistes ou d’intellectuels du monde entier qui nous ont donné leur regard sur la crise en cours. Nous vous invitons à lire la contribution du jour, signée Juan Solanas : "L’Argentine n’a pas le luxe de réfléchir à un ‘monde d’après’"
Toutes les chroniques de la série Coronavirus, une conversation mondiale sont disponibles ici.
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