

Souriez, vous êtes filmés. ©AFP - Zakaria ABDELKAFI
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Filmer policiers et gendarmes lors d'interventions puis diffuser les images pourrait devenir un délit. Citoyens, journalistes et ONG s'inquiètent des nouvelles propositions censées protéger l'image des policiers. Perçu comme un contre-pouvoir citoyen, est-ce un droit ou une mise en danger ?
Avec
- Thomas Rudigoz Député Renaissance de la 1ère circonscription du Rhône
- Cécile Coudriou Présidente d’Amnesty International France depuis 2018
- Alicia Mâzouz Maîtresse de conférences en droit privé à l’Université catholique de Lille, chercheuse au C3RD et à l’IRJS (Université Paris 1-Panthéon-Sorbonne)
Au départ, une proposition de loi qui cherche à mieux coordonner forces de police et de gendarmerie nationale, polices municipales et groupes de sécurité privée. Mais à l’arrivée une proposition de loi qui fait parler d’elle non pas pour les nouvelles prérogatives données à des sociétés privées ou pour l’extension de pouvoirs des policiers municipaux mais pour un chapitre ajouté à cette loi et consacré à la possibilité pour les policiers de filmer par camera piéton et par drone, mais aussi à l’interdiction de l’usage malveillant du filmage de policiers et gendarmes en intervention. Y-aurait-il une guerre des images autour de ce texte ?
À réécouter :
Comment réconcilier police et citoyens ?
39 min
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