Lea Jiqqir et Romain Henry de Taxi Kebab

Taxi Kebab - Lucile WDL

Résumé

Semaine spéciale à Nancy à l'occasion de l’exposition Arlene Gottfried (1950-2017) "La rue nous appartient" au Musée des Beaux Arts. Les Carnets de la création partent à la rencontre des acteurs de la vie culturelle de la ville. Plein feu, ce soir, sur le duo Taxi Kebab

avec :

Lea Jiqqir (Artiste plasticienne et musicienne), Romain Henry (Musicien).

Lea Jiqqir et Romain Henry sont les protagonistes de Taxi Kebab, un mélange de musique électronique, analogique et maghrébine chanté en dialecte marocain. Léa Jiqqir chante, accompagnée de son bouzouki, tandis que Romain Henry s’occupe en une grande improvisation de produire, à coups de synthé et machines en tous genres. À la croisée du châabi et de l’électro, Taxi Kebab parle de genre psyché desoriental, musique biculturelle, éclectique et bipolaire sauce blanche et harissa. Si pour l'instant, il n'y a pas encore de disque, c'est parce qu'ils ont privilégié le live mais, que tout le monde se rassure, le cd est en cours d'écriture.

Léa chante dans un dialecte marocain appris quand elle était enfant puis repris et adapté.

La communauté marocaine est bienveillante "c'est mignon comme accent"... "C'est important de reprendre cette langue et de te la réapproprier" lui disent les proches. c'est la langue des modestes. Lea Jiqqir de Taxi Kebab

Si je ne suis le porte-parole de personne, j'apprécie que l'on m'inclus. Lea Jiqqir de Taxi Kebab

Les machines sont sur un principe de créer avec ce que j'ai sous la main. Il n'y a pas d'ordi pour avoir un acte physique et rebondir sur ce que fait l'autre. Romain Henry de Taxi Kebab