Averroès : Je fantasme, donc je suis

Representation de Averroes (ou Abu al-Walid Muhammad ibn Rusd) (1126 - 1198), philosophe et medecin arabe Peinture de Francisco Fonollosa.
Representation de Averroes (ou Abu al-Walid Muhammad ibn Rusd) (1126 - 1198), philosophe et medecin arabe Peinture de Francisco Fonollosa.  ©AFP - LEEMAGE
Representation de Averroes (ou Abu al-Walid Muhammad ibn Rusd) (1126 - 1198), philosophe et medecin arabe Peinture de Francisco Fonollosa. ©AFP - LEEMAGE
Representation de Averroes (ou Abu al-Walid Muhammad ibn Rusd) (1126 - 1198), philosophe et medecin arabe Peinture de Francisco Fonollosa. ©AFP - LEEMAGE
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Remontons le temps aujourd'hui pour découvrir toute la portée fantasmatique de la cogitation et explorons, grâce à Jean-Baptiste Brenet, qu'être, ce n'est pas d'abord penser, mais imaginer !

Avec
  • Jean-Baptiste Brenet Professeur de philosophie arabe à l'Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, traducteur de l'arabe et du latin, auteur de plusieurs essais sur le rapport entre pensée arabe et pensée moderne.

"Je pense, donc je suis." Tout le monde connaît cette citation que l'on doit à Descartes, mais connaissons-nous la traduction de "Cogito ergo sum" : "je fantasme, donc je suis" ? Non ? Et pourtant, c'est bien Averroès qui a fait du cogito l'espace de tous les fantasmes ! Pourquoi donc un tel oubli de la modernité ?

Extrait

- Belle de jour, film de Luis Bunuel (1967)

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Références musicales

- Music of the spheres

- BO Solaris

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