La dispersion du moi dans l’œuvre implique-t-elle la disparition de l'homme tout entier? Et si le poète meurt, l'homme le suit-il dans sa chute? Pas chez Cocteau en tous cas, poète du drame et de la légèreté, sorcier lui même ensorcelé dont Serge Linarès nous raconte les prodiges.
- Serge Linarès Professeur de littérature française du XXe siècle à l'université Sorbonne Nouvelle
.EXTRAITS :
Archive Cocteau : Le poète est la main d’œuvre du moi profond, (« Archives de littérature », RTF 1959)
Le testament d’Orphée, film de Jean Cocteau (1960)
Le sang d’un poète, film expérimental en 4 parties de Jean Cocteau (1930)
LECTURES :
Jean Cocteau, « Poème », poème inédit (publié seulement en revue en septembre 1911 dans l’Almanach des muses, mais jamais repris en volume) et publié dans le Cahier de l’Herne (2016), p. 190
Jean Genet, Hommage à Jean Cocteau (1950), publié dans la revue Empreintes, publié dans le Cahier de l’Herne, p. 13-14.
REFERENCES MUSICALES :
Le groupe des six, Les mariés de la tour Eiffel
Juliette Greco, Les enfants terribles
Satie, Le violon
Camille, Quand je marche
Aurelia, Gnossienne
Philip Glass, Ouverture à la belle et la bête
Stravinsky, Œdipus Rex
La chronique « 2 minutes papillon » de Géraldine Mosna-Savoye
La chronique 2 minutes papillon : Vendredi 26 février 2016
2 min
A propos du livre l’Anthologie-manifeste "Habiter poétiquement le monde", conçue par Frédéric Brun, paru aux éditions Poesis
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