Cocteau par Serge Linarès

Jean Cocteau en 1961
Jean Cocteau en 1961 ©Maxppp - KEYSTONE Pictures USA
Jean Cocteau en 1961 ©Maxppp - KEYSTONE Pictures USA
Jean Cocteau en 1961 ©Maxppp - KEYSTONE Pictures USA
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La dispersion du moi dans l’œuvre implique-t-elle la disparition de l'homme tout entier? Et si le poète meurt, l'homme le suit-il dans sa chute? Pas chez Cocteau en tous cas, poète du drame et de la légèreté, sorcier lui même ensorcelé dont Serge Linarès nous raconte les prodiges.

Avec
  • Serge Linarès Professeur de littérature française du XXe siècle à l'université Sorbonne Nouvelle

.EXTRAITS :

Archive Cocteau : Le poète est la main d’œuvre du moi profond, (« Archives de littérature », RTF 1959)

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Le testament d’Orphée, film de Jean Cocteau (1960)

Le sang d’un poète, film expérimental en 4 parties de Jean Cocteau (1930)

LECTURES :

Jean Cocteau, « Poème », poème inédit (publié seulement en revue en septembre 1911 dans l’Almanach des muses, mais jamais repris en volume) et publié dans le Cahier de l’Herne (2016), p. 190

Jean Genet, Hommage à Jean Cocteau (1950), publié dans la revue Empreintes, publié dans le Cahier de l’Herne, p. 13-14.

REFERENCES MUSICALES :

Le groupe des six, Les mariés de la tour Eiffel

Juliette Greco, Les enfants terribles

Satie, Le violon

Camille, Quand je marche

Aurelia, Gnossienne

Philip Glass, Ouverture à la belle et la bête

Stravinsky, Œdipus Rex

Serge Linarès
Serge Linarès
© Radio France - MC

La chronique « 2 minutes papillon » de Géraldine Mosna-Savoye

La chronique 2 minutes papillon : Vendredi 26 février 2016

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A propos du livre l’Anthologie-manifeste "Habiter poétiquement le monde", conçue par Frédéric Brun, paru aux éditions Poesis

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