Par Adèle Van Reeth
Réalisation : Olivier Guérin
Lectures : Marianne Basler

Après l’aristocratie newyorkaise et les dysfonctionnements domestiques, c'est-à-dire après Edith Wharton et Raymond Carver, suite aujourd’hui de notre semaine sur quatre romanciers américains, sur quatre ancrages territoriaux qui ne sont qu’un prétexte pour décrire non pas l’espace extérieur, mais, celui, intérieur, d’un soi douloureux ou invisible, à la fois sujet et objet de l’écriture.
Et c’est pourquoi, aussi surprenant que cela puisse paraître, nous vous proposons, pour le troisième temps de cette semaine, 50 minutes de discussion sur l’écrivain Jim Harrison, en compagnie de Thoreau, de Bachelard, et de son traducteur, Brice Mathieussent.

Références musicales:
-** Marc Lavoine** , Je fais des rêves américains
-** Cesaria Evora** , Saudade
- Neil Young , Harvest
Extraits:
- Archive : Harrison sur le Michigan (émission « Inter treize quatorze », Jean-Luc Hees, France Inter, 18 mai 1995)
- Archive : Harrison sur Dalva ( Emission « A voix nue : grands entretiens d’hier et d’aujourd’hui », Clémence Boulouque, 20 juillet 2006)
- Film Légendes d'automne d'Edward Zwick (1994)
- Film La porte du paradis de Michael Cimino (1980)
Lectures:
**- Jim Harrison, ** Dalva **, ** traduction de Brice Matthieussent, (éd. 10/18, 2011)
- **Jim Harrison, ** Légendes d’automne traduction de Serge Lentz,( éd. Bouquins,2000)

**"Deux minutes papillon" ** par Géraldine Mosna-Savoye : **pourquoi lire Jim Harrison ? **
Réponse avec Dorothy, directrice de la Dorothy's gallery (American Center for the Arts) pour qui l'Amérique est double, à la fois folle et légendaire, violente et belle, limitée et grande.
Deux minutes papillon : pourquoi lire Jim Harrison
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