“Dead Zone”, le pire est-il toujours à venir ? : épisode 2/4 du podcast Stephen King, anatomie de l’horreur à l’écran

"Dead Zone", David Cronenberg, 1983
"Dead Zone", David Cronenberg, 1983 - MARY-X Distribution
"Dead Zone", David Cronenberg, 1983 - MARY-X Distribution
"Dead Zone", David Cronenberg, 1983 - MARY-X Distribution
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Après un long coma, Johnny Smith découvre qu’il est atteint de visions dans lesquelles il existe un point aveugle, la dead zone, comme l’incarnation du possible ? L’avenir peut-il être influencé par une prémonition ? Quels dilemmes éthiques nourrissent le récit de King adapté par Cronenberg en 83 ?

Avec
  • Olivia Chevalier docteur en philosophie

Jimmy Smith, atteint de visions prémonitoires, pose cette question à son psychiatre : si vous aviez pu tuer Hitler, l’auriez-vous fait ?
Et s’il pose cette question, c’est parce qu’il a entraperçu l'avenir si le candidat populiste qui brigue un siège au Sénat des Etats-Unis et veut devenir Président des Etats-Unis accède au pouvoir : il commettra le pire, il actionnera le bouton qui déclenchera la bombe nucléaire et provoquera l’apocalypse… Faut-il alors qu’il tue cet homme pour sauver l’humanité ?
C’est l’enjeu de Dead Zone, cinquième roman de Stephen King paru en 1979 et adapté par Cronenberg en 1983.

L'invitée du jour :

Olivia Chevalier, docteur en philosophie, enseigne la Culture Générale en classe préparatoire voie économique à Intégrale et philosophie des sciences à l’ICP

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Sons diffusés :

  • Jingle de WKIT, la chaîne de radio de rock de Stephen King
  • Archive de Stephen King du 15 novembre 2013, Matinale de France Inter 
  • Edgar Po, Le Corbeau, traduction de Mallarmé, lecture de Jean Negroni, 01 octobre 1972
  • Extraits du film Dead Zone, de David Cronenberg, 1983
  • Archive de Stephen King, dans Now This, 2020
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59 min

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