Comment la fascination pour le mal opère-t-elle sur le cinéma de Welles ?
- Benoît Peeters Écrivain, scénariste de bandes dessinées et éditeur, biographe d’Hergé
Comment le personnage du flic corrompu est-il entré dans l'imaginaire collectif ? Bien avant les séries, Breaking Bad ou les Sopranos, Orson Welles avait déjà vu que le meilleur rôle, c'est celui du méchant : l'impunité absolue de Hans Quinlan dans La Soif du Mal, le charme de Harry Lime dans Le Troisième homme, la culpabilité délirante de K. dans Le Procès... Comment la fascination pour le mal opère-t-elle sur l'acteur qu'était Welles ?
Extraits
Archive : Welles, l’importance du cinéma (13/01/1974)
La soif du mal, film d’Orson Welles (1958)
Le troisième Homme, film de Carol Reed (1949)
Lecture
André Bazin, Orson Welles ( Cerf, 1972)
Références musicales
Mancini, La soif du mal, Pigeon caged
Eartha Kitt, I want to be evil
L'équipe
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