- Daniel Bougnoux Professeur à l’université de Grenoble, a établi l'édition critique de la Pléiade Aragon
Par Adèle Van Reeth
Réalisation : Somany Na
Lectures : Marianne Basler
Pourquoi les histoires d’amour sont-elles romanesques ? Et bien parce qu’elles finissent mal, en général, mais qu’entre le début et la fin, il y a l’histoire, les histoires, dont les péripéties et retournements forment le romanesque par excellence– car si les histoires d’amour finissaient bien, la littérature ne s’y serait pas attardée au-delà d’un recueil de nouvelles – ou d’une collection de romans de gare.
Demain, Michel Aucouturier nous fera voyager dans la Russie de Tolstoï aux côtés de Vronsky, Levine et Anna Karénine, mercredi, Carole Auroy assumera l’autodestruction de la passion amoureuse dans Belle du Seigneur et jeudi, et bien jeudi, l’amour cédera le pas à la religion, ou plutôt se sacrifiera sur l’autel des cérémonies religieuses du jeudi de l’Ascension.
Aujourd’hui, qu’est-ce que l’amour, un idéal, un pis-aller, ou un but en soi, ou comment l’on peut tomber amoureux lorsqu’on n’y croit pas, et d’une femme que l’on trouve franchement laide… Aujourd’hui, un prénom impérial, un roman du réel, Aurélien, de Louis Aragon.
Références musicales:
- Dave Brubeck , Glances, Doing the Charleston
- Original New Orleans Jazz Band , Ja-Da
- Wagner , Tristan et Yseult, Air d'Yseult (Acte III)
- Charleston , O Bryant's original Washboard Band, Charleston fever
- Nina Simone , Il n'y a pas d'amour heureux
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